LE LIVRE ROSE DE MR. NICHTS
Fattima, Un Coup de Folie & Ma Virginité (2)
Episode 2 - Genre: Comédie sexy - Sexualité: milf, black, dépucelage - Lien Xstory
« L’homme est né lorsque pour la première fois, devant un cadavre, il a chuchoté: pourquoi? »
André Malraux.
Comme tout le monde, je me suis toujours demandé comment ma première fois se déroulerait. Heureusement, vos potes sont souvent là pour vous donner de bons conseils.
* Le mec pas subtil: « Tu fais ça en soirée avec une meuf bien bourrée. Personne ne t’emmerdera et si tu te foires, c’est pas grave. »
* L’opportuniste: « Ca peut arriver à tout moment donc garde toujours une capote avec toi. »
* Le super-catho: « Avant le mariage? Mais c’est dégueulasse! »
* Le mec trop sympa: « Ah, parce que t’es toujours puceau?! Hé, Manu, viens voir, tu devineras jamais! »
* Le don juan/connard: « Tu lui fais quelques compliments, la taquine et lui parles franchement de tes intentions de mâle. Chaque fois que tu l’embrasses, tu lui fais croire que c’est la dernière fois. Le lendemain, tu ne lui écris pas et tu ne réponds à aucun de sms. Elle sera dingue de toi après, t’inquiète. » (avec deux filles dans chaque bras)
* Le geek: « Faire l’amour… A quoi ca sert? On a déjà les pornos. »
* La pote fille: « Il faut que tu trouves quelqu’un que tu aimes vraiment, que ça vienne du coeur, sinon, ca ne marchera pas. Sois patient. »
* Celui qui croit en moi: « Sois patient, surtout. C’est ça, l’important. Sois patient.»
* Le psychopate: « Moi, j’ai une poudre qui fait dormir un cheval pendant quatre heures. Il n’y a rien de plus pratique. »
* Celui qui a raison: « De toute manière, ce ne sera pas comme tu penses. »
Et pour cause! Si depuis quelques temps, j’avais fantasmé sur cette volupteuse femme noire, jamais je n’aurais cru me retrouver dans son appartement accrochant mon habit chaud à son porte-manteau et l’entendre formuler:
« Tu veux un verre? »
La noire retira sa veste, dévoilant ses jolies rondeurs sous une sobre chemise blanche qui contrastait son beau teint.
« Oui, ça me tente bien. »
En observant les lieux, un petit salon avec une jolie table basse, je l’aperçus ouvrir un meuble.
« J’ai du whisky ou du martini.
- ‘Martini. Shaken, not stirred.’
- Hahahaha, t’as un accent pas mal, dis-moi. »
J’adorais quand elle riait.
« Ne te moque pas.
- Je ne rigole pas! Un beau costar, un peu de muscle et tu ferais un bon James Bond. »
Je lui souris sans trop discerner si elle s’amusait de moi ou était sincère. La femme aux lèvres pulpeuses s’approcha me tenir le menton.
« En tout cas, tu serais bien mieux que Daniel Craig. Donc on se fait un martini, t’es sûr? »
Je m’apprétais à répondre: ‘Comme tu préfères’ mais je me souvins soundain ce qu’avait dit mon pote don juan: ‘Aie l’air toujours sûr de toi! Impose tes choix. Les filles en raffolent.’
« Oui, certain. »
Je m’approchai de sa télé et aperçus derrière une pile de CDs. Je vis l’album de Percy Sledge et je mourrus d’envie de le passer. C’était un de mes chanteurs préférés et sa musique s’accordait terriblement bien à mes intentions.
« Tu veux mettre un peu de musique? me demanda-t-elle tout en préparant les verres dans la cuisine à côté.
- En voyant tes disques, l’envie me prenait.
- Vas-y. ‘Surprise me’! »
La pression montait en moi. C’était le moment de marquer des points! Je parcourus ses autres artistes mais aucun ne me convainct. Je me lançai. Je mis l’objet et appuya sur ‘play’. Les violons. La batterie. La guitare. Son incroyable voix. Le volume pas trop fort. C’était parfait.
Elle ressortit soudainement la tête.
« T’écoutes ça, toi?
- Ouais... J’aime bien.
- T’étais loin d’être né quand c’est sorti!
- Toi aussi, je te signale.
- Oui mais… »
Ses lèvres affichèrent un sourire gracieux avec des yeux satisfaits.
« Très bon choix! »
Son visage redisparut. Je n’aimais pas quand elle faisait des remarques sur mon âge. Dans ces moments, j’avais la désagréable impression que sa conscience la rappelait de force à renoncer à moi. Heureusement, sa dernière phrase s’avérait de bonne augure. De plus, vu le temps qu’il lui fallait pour préparer nos deux verres, elle devait drôlement s’appliquer.
« Assieds-toi! J’ai presque fini. »
Après une petite hésitation, je m’assis sur le canapé en pensant qu’elle se mettrait à ma gauche. La noire parvint dans le salon avec un plateau comportant les deux verres et quelques apéritifs.
« Et voilà!
- Waouh, super. »
Après avoir posé l’ensemble, elle vint s’assoir sur le fauteuil à ma droite afin d’anéantir tous mes plans. Nous nous regardâmes yeux dans les yeux et clamèrent tchin’!
« Quel gage vous imposez si vous oubliez de vous regardez dans les yeux, vous?
- Euh… Pas de sexe pendant 20 ans.
- Ah, ouais quand même!
- Oui, en général, ça t’oblige à t’en souvenir! »
Nous rîmes de bon coeur.
« C’est quoi la statue sur ton meuble là-bas?
- Une sculpture que mon père a réalisé.
- Où habite-il?
- En Côte d’Ivoire.
- Je n’y suis jamais allé mais j’aimerais beaucoup. Ma cousine y a vécu, il y a longtemps.
- C’est vraiment un beau pays.
- Ca te manque?
- Non, je suis Française. Je n’ai jamais résidé là-bas. Avec ma famille, c’est….compliqué. »
Je sentais que ce n’était pas le moment pour approfondir ce sujet. J’approchais en douceur ma main de la sienne afin de sentir le bout de ses doigts.
« En tout cas, la statue est vraiment belle.
- C’est Jésus.
- Ah, je ne le voyais pas comme ça!
- Pourquoi? Parce qu’il est noir?
- Non, parce qu’il est nu!
- T’es con! »
Elle rit de nouveau beaucoup mais cette fois, me prit la main dans les siennes. Mes doigts la caressèrent. Nos têtes se rapprochèrent. Tout bascula comme dans un mouvement de gravité inarrêtable, comme si le destin n’avait plus son mot à dire, comme s’il n’y avait plus que nous deux. Nos fronts se touchèrent. Je fermai les yeux et sentai sa respiration profonde pendant quelques secondes.
Alors, seulement, ma bouche s’avança des quelques centimètres qui nous séparaient et ma langue pénétra entre ses lèvres marrons afin de caresser la sienne dans une danse terriblement érotique. La scène, aussi fantasmique qu’improbable se passait vraiment: j’embrassais Fattima dans son salon sous la voix de Percy Sledge et le regard de Jésus.
Nos bras se mélangèrent et nous tombâmes lentement sur mon dos. Je sentis sa poitrine contre mon torse, ce qui déclencha une réaction immédiate de la part de mon second cerveau. Fattima me sourit et je compris que je n’étais pas le seul à le remarquer. Elle continuait à m’embrasser mais ses baisers s’éparpillaient sur mon front, dans mon cou... Je commençais sérieusement à bouilloner. Mes mains parcouraient son dos et, bien qu’hésitante, l’une passa sous sa chemise, la tirant délicatement. Les siennes s’aventuraient de même sous mon tee-shirt recouvrant mon torse. Parmi tout ce plaisir, une petite crainte d’être précoce s’éveilla en moi alors que mon entre-jambe ne se calmait pour rien au monde (et je le comprenais bien).
Soudain, la femme de mes rêves qui devenait aussi celle de mes réalités se releva et se placa a genoux pile au dessus de ma bosse de pantalon de sorte que celle-ci fut appuyé sur mon ventre. Je commençai à me dire que si Jésus existait et était aussi bon qu’il le prétendait, il devait absolument me protéger d’éjaculer maintenant! Ma succube d’ébonie me mettait bien plus à l’épreuve lorsqu’elle retira sa chemise dans un mouvement sauvage, me présentant un soutien-gorge noire qui retenait deux magnifiques seins. J’avais vu de nombreux films pornos, de nombreux tableaux de femmes nues et même une dame par erreur dans les vestiaires d’une piscine, mais jamais, jamais au grand jamais je n’avais vu quelque chose d’aussi beau.
« Tu veux les toucher?
- Fattima, tu es trop belle…. »
Mes mains se levaient lentement et entamaient de les caresser puis de la malaxer, de bien les tenir puis de pincer auquel elle réagit par un gémissement aigu. Fattima me prit les bras pour m’encourager à continuer. Je dois avouer que le plaisir commençait à prendre le dessus sur ma pensée. Nous étions entraînés dans une valse où l’instinct guidait la cadence. Ses fesses remuaient au bas de mon ventre. J’en profitais pour glisser une main sous sa culotte par le bas de son dos, passant mon doigt en suivant son trait naturel, frôlant son petit trou et parvenant à une zone très humide. Mes yeux s’écarquillèrent.
« Tu aimes me toucher là? Dis-moi que tu aimes…
- Oui, j’adore, Fattima, tu me rends dingue… »
Mon petit doigt frottait, pouvant sentir ses poils, sa peau, une entrée.
« Oh, Ferdinand… Continue… Oui, là... »
La femme noire se pencha sur moi et m’embrassa fougueusement en cambrant bien ses fesses pour que je puisse mieux la doigter. Sa salive me recouvrait le visage et ma langue léchait tout ce qui était atteignable. En même temps, son bassin bougeait de sorte qu’elle s’enfonçait de plus en plus dans mon doigt. Des petits frissons parcouraient mon corps.
« Fattima, tu me fais tellement de bien…
- Toi aussi, mon Ferdinand, ne t’arrête pas, je t’en supplie… Je veux te sentir en moi… »
Si il existe un paradis sur Terre, c’est celui-ci. Je vous le promets.
« Toi aussi… Je veux voir ton engin… Je veux le sentir dans ma bouche… »
Je souris en me mordant les lèvres. Ces quelques mots durent suffire à grossir ma queue de quelques centimètres encore. Ce moment était si savoureux, je ne voulais le gâcher pour rien au monde, mais par dessus tout, je voulais qu’il soit des plus sincères. Je voulais m’offrir pleinement à elle sans que rien ne puisse nous séparer.
« Fattima, je… C’est la première fois que… »
La jolie noire me mit immédiatement un doigt sur la bouche.
« Chut… Tout va bien… »
Alors commença-t-elle à envoyer des petits coups de langue sur ma bouche tout puis descendit le long de mon cou tout en continuant cette pratique délicieuse. Arrivée, au bas de mon ventre, Fattima prit en main ma bite au dessus de mon caleçon.
« Ouh…! »
Je me tortillai. C’était irrésistible! Je ne pensais même plus à ma crainte d’éjaculer. Cet instant ne pouvait qu’être bonheur.
« Tu as l’air sensible ici, mon chéri… Fattima va prendre très soin de toi…. »
Après m’avoir massé de haut en long, elle entreprit de baisser tout doucement le caleçon. Je fermais les yeux. C’était la première fois qu’une femme voyait mon corps d’homme entièrement nu. Cette pensée s’échappa bien vite lorsque je sentis le contact du bout de sa langue sur mon gland. Très lentement, sa bouche recouvra le bout de mon gland finissant par l’englober totalement. Sa tête l’engloutit entièrement avant de remonter et recommencer ainsi. Sa langue tournait autour de sorte que des spasmes m’envahissaient. D’eux-même, mes bras vinrent lui caresser afin de l’encourager.
« Tu veux que je te montre autre chose, mon Ferdinand adoré? »
J’ouvris les yeux et aperçut la noire prendre ses seins et les frotter contre mon pénis tou dur tandis que ses lèvres reprirent leur massage buccal. Je crus tomber dans les pommes tellement c’était bon.
« Alors, tu aimes quand Fattima s’occupe de toi?
- Oh oui, j’adore…! Continue…
- Fattima s’occupe bien de son Ferdi?
- Oui… Tu me rends fou...
- Alors le Ferdinand doit remercier Fattima et faire quelque chose en échange…
- Tout ce que tu veux Fattima! Je t’aime tellement!
- Tu es un super garçon, Ferdinand…. Tu promets?
- Oui, apprends-moi!
- Alors, voilà, ce dont j’ai terriblement envie que tu me fasses…. »
A SUIVRE…!