LE LIVRE ROSE DE MR. NICHTS
Episode 3 - Genre : Porno trash - Sexualité : soumission, dépucelage, teen, enrobée
Je me demandais... Comment êtes-vous atterri sur mon blog ?
En tout cas, je vous en remercie et je vous souhaite une bonne lecture.
Ah, les pâtes sont cuites!
Bien à vous, Nichts.
- Vous ... Hen ! êtes mon ... Hen ! Capitaine... Hen
!
- Maintenant, tu répondras toujours par "oui, mon
capitaine".... Ho ! ... Compris ?
- Hen ! Hen ! Hen ! Oui ... Hen !
- Oui qui ?
- Hen ! Hen ! Oui ! Hen ! Oui, mon capitaine ! Hen ! Hen
!
- Alors dis-moi qui aime se faire baiser comme une grosse
salope par son capitaine ?
- Hen ! Hen ! Hen !
- Qui c'est, ma grosse salope ?
- Hen ! C'est moi ... Hen ! Vous êtes mon capitaine ... Hen !
Hen !
- Bien ! Tu es une bonne soumise. Tu mérites ton
dû.
Le marin se retira de la chanteuse et éjacula sur son
imposante poitrine. Il râla pendant un demi-minute, crachant sa liqueur virile à plusieurs reprises. La jeune fille se trouvait fort surprise par la quantité et l'odeur envahissante de la
semence. Le liquide était chaud sur sa poitrine et lui déclenchait encore quelques frissons. Recouverte, la chanteuse se sentit soudain si épuisée que ses yeux se fermèrent
d'eux-même.
La Lune passa en ronde au dessus d'eux et les oiseaux se
mirent à chanter. Charlotte se réveilla. La dépucelée voulut bouger ses jambes mais constata qu'elle se trouvait dans les bras de son marin, sur la banquette arrière. Le couple était enlacé l'un
dans l'autre comme des amoureux dans une chanson romantique: le lever du soleil, la mer, les oiseaux.
Charlotte observa l'homme dormir. Il semblait serein. Il
avait de beaux sourcils. Puis elle prit conscience qu'elle était nue et s'en trouva extrêmement gênée.
- Hey, tout va bien?
Il venait de se réveiller.
- Oui, je…
- As-tu bien dormi?
- Oui, mais...
- Ne t'inquiète pas, tout va bien. Je vais te ramener chez
toi, d'accord ? Tes habits sont sur le siège avant, regarde. Peut-être as-tu une petite faim ?
La lycéenne était très surprise que le marin se comporte de
manière si intentionnée. Après avoir constaté que son portable n'avait plus de batterie, elle se rhabilla rapidement et accepta d'aller prendre un petit déjeuner. Ils trouvèrent un petit café sur
un quai. Même si elle était toujours gênée, le marin papotait, racontait de courtes histoires et parvenait même parfois à faire rire la chanteuse.
Après quoi, il la raccompagna chez elle. En sortant de la
voiture, Charlotte se retourna et passa sa tête afin de regarder le marin dans les yeux :
- Je ne peux pas m'empêcher de dire que... De demander
si...
- Ne dis rien. On ne dit rien,
d'accord ?
- Je...
Il lui fit un bisou sur le front puis démarra la voiture qui
disparut dans les rues perdues du Havre.
"Je suis si stupide."
Charlotte se trouvait nulle ! Elle aurait du dire
qu'elle allait se plaindre, qu'elle n'était pas d'accord pour qu'on la traite ainsi, qu'elle ne se laisserait pas faire ! Pourtant, elle n'avait rien dit. La jeune fille avait même accepter
un petit déjeuner avec lui.
"Stupide, stupide, stupide !"
Charlotte entra chez elle. Ses parents n'étaient pas très
inquiets. Ils pensaient qu'elle avait dormi chez une amie sans prévenir, comme à son habitude.
- Mais je préférerai que tu nous préviennes, tout de même,
Charlotte, d'accord ?
- Oui, Maman, j'y penserai, pardon.
- Viens, on va déjeuner maintenant.
- Oui, je me douche et j'arrive.
Charlotte pénétra la douche. Pour cause : elle était
recouverte de sueur de la veille (et d'autre). L'eau sur elle coulait le long de ses formes, son ventre courbé, entre ses fesses, sur la point de ses seins. La fillette s'apprêtait à se savonner
lorsqu'elle voulut vérifier quelque chose : elle passa sa main gauche entre ses jambes et, écartant ses quelques poils, toucha un liquide visqueux. La texture l'intriguait. Cela avait une
odeur très forte. Elle l'approcha de ses narines puis de sa bouche. Elle tendit la langue et lécha une pointe.
« Hen, mais que fais-je ? » Elle s'arrêta net
et finit sa douche normalement.
« Stupide ! Stupide ! Stupide »
repensa-t-elle.
Habillée, la lycéenne descendit dans la cuisine. Alors
qu'elle entamait son repas avec sa famille, elle repensa au marin. Savait-il comment elle allait réagir ? Planifiait-il de la violer depuis longtemps ? Était-ce vraiment cela, un
viol ? Pourquoi n'avait-elle pas essayer de plus se débattre ? Pourquoi se sentait-elle si bien contre lui ? Pourquoi s'était-il comporté en si bon gentleman le
lendemain ?
Même pendant qu'elle étudiait, son esprit restait fixé sur
cet homme qui avait bouleversé sa vie, particulièrement sur une image : lorsque le marin se tenait dressé devant elle, son dard de virilité en face de son visage et empli de désir, crachant
sa semence de fertilité sur ses seins dressés de plaisir.
Durant la semaine, en cours, aussi, l'image restait marquée
dans son esprit. Le lundi, elle demanda à son amie Sofia :
- Ça t'arrive de rêver de sexe ?
- Hahaha, mais quelle question crue, Charlotte. Cela ne te
ressemble pas !
- Oh, ça va. Mais réponds-moi, plutôt que de me
narguer.
- Oui, cela m'est déjà arrivé. Ce n'est jamais désagréable
même si le retour à la réalité est parfois déprimant. Oh, Johnny Depp, reviens ! Hahaha.
- Mais … et même des choses un peu hard,
parfois ?
- Mais dis-donc, Charlotte, tu m'épates ! De qui
rêves-tu ainsi ?
- Oh, personne, un fantasme... Viens, on va en
cours.
Son meilleur ami, Tristan, avait de même remarqué la
distraction quasi-permanente de Charlotte, si bien que le grand lycéen finit par s'en soucier.
- Tout va bien, Charlotte ?
- Oui, bien sûr, Tristan.
- Tu sembles ailleurs...
- Je pense à des choses, c'est tout.
- Tu sais, tu peux tout me dire?
- Mais il n'y a rien à dire. Ne t'inquiète
pas.
- D'ailleurs, je pensais … Si ça te dit, vendredi, après ton
concert, on pourrait aller au cinéma. Il y a un film d'horreur qui a l'air plus dégoutant que jamais!Toi qui raffole de poupées mort-vivantes...
- Arrête, pas un film d'horreur, tu sais bien que je
déteste...
- Je te taquine. Sinon, il y a une comédie avec Johnny
Depp.
- Bonne idée, voilà qui me changera justement les
idées!
- Comment cela?
- Oh rien … Je t'adore Tristan.
La chanteuse déposa un baiser sur la joue de son meilleur ami
et partit sans s'apercevoir que celui-ci rougit.
- Mais quand vas-tu lui avouer la vérité,
Tristan ?
- Ah, Sofia, c'est toi !
- Cela devient malsain, à la fin. Je suis sûr qu'elle serait
si heureuse de trouver un garçon qui l'aime.
- J'y compte bien... Je l'ai invitée à aller au cinéma
vendredi soir.
- Oh ! Tu m'impressionnes. Elle sait que je ne viens
pas ?
- Je crois que oui...
- Alors c'est l'occasion parfaite ! Ne la gâche
pas.
- Hé, ne me mets pas trop la pression. C'est déjà assez
important ainsi. Mais cette semaine, je la trouve bizarre.
- Peut-être rêve-elle du Prince Charmant?
- J'aimerais bien...
- Vous allez voir quoi ?
- La comédie avec Johnny Depp.
- Oh, la chance.... Johnny Depp, marry-me,
please !
- Hahaha, arrête tes bêtises, toi.
La semaine passa vite. Le soir, Charlotte avait du mal à
s'endormir, toujours obsédée par cette image humiliante de son dépucelage. Pourtant, sans qu'elle s'en aperçoive, ses doigts glissaient le long de son corps jusqu'à son entre-jambe et caressait
ses quelques poils. Parfois même poussaient-il doucement son vagin. Alors, elle gémissait faiblement et s'endormait en pensant à lui.
Vendredi après les cours, Charlotte parvint chez elle et
préparait ses affaires pour le concert de ce soir. Son portable sonna. C'était un sms de Tristan.
« Ce soir, je suis de corvée jusqu'à 21h30. Je viens te
chercher après ton concert à 22h10 pour la séance de 22h30. »
L'idée de son absence ne lui plut pas beaucoup. Elle aurait
préféré ne pas être seule dans ce bar, de peur de revoir le marin. La lycéenne demanda à son amie Sofia.
- Oui, Sofia, c'est Charlotte. Cela te dirait de
m'accompagner à mon concert, ce soir ? Comme ça, après on pourrait aller au cinéma avec Tristan.
- Oh, je suis navrée, Charlotte, mais ce soir, je ne peux
pas.
- Mais... Pourquoi ? C'est avec Johnny Depp, tu vas
adorer ! Je comptais sur toi pour m'accompagner avec Tristan.
- Euh... Eh bien... Je dois... voir quelqu'un,
inventa-t-elle.
- Comment ça, quelqu'un ? Un mec ?
- Oui, écoute, je n'ai pas le temps de te raconter. Je dois y
aller. Mais allez-y tous les deux, ce n'est pas grave pour moi. Bon concert. A bientôt, ma chérie !
Sofia raccrocha, soulagée de ne pas avoir à prolonger son
mensonge, plutôt mauvais. De son côté, Charlotte trouvait sa meilleure plutôt dure de l'abandonner ainsi. Il n'était que cing heures et, seule à la maison, elle décida de réviser ses
chants : « Ain't no love in the city » de Al Brown. La musique lui fit oublier ses soucis. Bientôt, elle se ressentait revivre quand soudain, la sonnerie retentit.
- Rrrrrh, râla-t-elle en décrochant l'interphone. Oui ?
Il y a quelqu'un ? Allo ?
On sonna de nouveau.
- Mais c'est pas vrai. Même pas capable de
répondre !
La jeune fille enrobée descendit ouvrir la porte et aperçut
un grand bouquet de fleurs.
- Surprise !
- Qui êtes... ?
L'homme entra, la poussant sur le côté, et referma la porte
puis dévoila son visage.
- Mais c'est vous ! Qu'est-ce que vous
faites-là ?
- Enfin, mon petit cœur. Du calme. Je venais t'apporter ces
magnifiques roses pour te souhaiter bon courage pour ton concert de ce soir.
- Merci, pour les fleurs. Maintenant, allez-vous
en.
- Est-ce ainsi que tu traites tes invités ? Tu étais
bien plus sage la dernière fois que l'on s'est vu.
- Comment osez-vous ? Sortez, je vous en
prie !
- Voyons, tu n'as pas aimé notre petite sortie
nocturne ? Tu n'as apprécié que je te tripotes partout ? Tu n'as pas gémi lorsque je léchais ton si beau minou ?
- Laissez-moi, je vous dis...
- Tu n'as pas pris ton pied à la vue de mon pénis en
orgasme ? Oh, je suis sûr que tu y as repensé tous les jours et toutes les nuits. - - Tu es une vraie coquine... Tu sais, tu es si mignonne avec ton petit air gêné...
- Arrêtez, je vous en supplie...
Le marin la plaqua contre le mur et l'embrassa. Sa langue
dansait dans sa bouche. Il passa ses mains sous la jupe entre ses jambes et malaxa la culotte.
- Alors, tu te souviens à présent ?
- Pourquoi...
- Chut...
L'homme prit la main de Charlotte et la plaça sur sa
braguette de sorte qu'elle pouvait sentir un cylindre dur et très chaud. Charlotte fixait le plafond, se refusant de regarder.
- Je sais que cela fait une semaine que tu ne fais que penser
à cela. Depuis une semaine, tu t'imagines ça le soir dans ton lit. Une semaine que tu te touches sous ta douche en y pensant. Alors, vas-y, sois toi-même, je te le permets. Fais ce dont tu as
envie.
- Non...
Le marin ouvra son pantalon et maintient la main de Charlotte
tout près de son pénis sans la faire toucher.
- Je sais que l'envie est irrésistible. Laisse-toi aller et
accomplis tes envies. Tu es incapable de les cacher !
- Oh …
Alors Charlotte prit d'une main la bite poilue du marin et le
branla en regardant de près le monstre sexuel, fascinée par ses veines, ses poils, sa force, sa virilité.
Hypnotisée, ses doigts fins s'appliquaient à faire des
va-et-viens et elle était aux anges de pouvoir toucher un si bel instrument de fertilité.
- C'est si … Puissant …
- Tu le fais si bien, Charlotte. Je sais que tu veux plus,
laisse-toi entièrement aller, ma chérie. Sois toi-même. Fais-toi plaisir.
Charlotte ferma les yeux, approcha lentement sa bouche et
engloba le gland tout chaud de l'homme. C'était exactement comme elle en rêvait depuis une semaine sans se l'avouer.
- Hummmmm... Tu es une vraie petite pute, tu le fais si
bien... Tu as un potentiel incroyable et crois-moi, le capitaine a apporté plein de surprises pour toi, cette fois...
… A SUIVRE !