LE LIVRE ROSE DE MR. NICHTS

Episode 4 - Genre : Porno trash - Sexualité: soumission, dépucelage, teen, enrobée

 

En relisant certaines de mes histoires, je trouve tout cela vraiment dégueulasse.
 

Bien à vous, Nichts.

 

theropeview-Sophie-Dee

 

Charlotte suçait toujours aussi soigneusement le pénis solide du capitaine, animée par une frénésie aussi lointaine qu’évidente, aussi agréable que vicieuse.

- Oh oui, petite chienne, tu le fais si bien…

Le marin lui caressait sa chevelure noire comme ferait un maître à son chien docile. La vision de la scène ressemblait à un tableau épique. L’homme dont les traits marqués par le vent polaire trônait sur le fauteuil comme un roi de droit divin. A genoux et courbée, la lycéenne gâtait le sexe de son supérieur comme n’importe quelle putain se serait dévouée corps et âme. Son regard clos témoignaient à quel point la lycéenne ne pouvait admettre sa vraie nature.

- Pourquoi fermes-tu les yeux ? Ne veux-tu pas admirer comme tu suces bien ? 

Son visage pâle rougit de honte.

- Je veux que tu me vois dans les yeux. Regarde ton capitaine pendant que tu le suces, petite salope.

Charlotte ouvrit alors instantanément ses paupières et fixa directement le marin. Ce dernier nota bien qu’elle obéissait toujours mieux lorsqu’il la traitait d’insultes dégradandes. Il s’émanait une sorte d’électricté dans l’air. Petit à petit, tandis qu’il se mettait à grogner, il effectuait quelques va-et-viens dans sa bouche. La fille ronde s’étonnait du plaisir qu’elle éprouvait à satisfaire un homme. Elle découvrait son pouvoir féminin. La chanteuse entreprit même de lui masser aussi les couilles.

- Oh oui, ma petite pute, quelle bonne idée… Tu t’améliores...

La chanteuse se surprit à penser à ses amies. Si seulement Sofia, sa meilleure copine, savait qu’elle était en ce moment en train de soigner une fellation à un homme bien plus âgé rencontré durant une nuit alcoolisée. Charlotte s’était toujours persudadée que son physique était moche, et pas seulement ses courbes accentuées, aussi son visage, sa peau, ses cheveux... Toute son adolescence, elle s’était persuadée que sa prestation sera une catastrophe au lit et que les garçons la jetteraient comme une incomestible.

Pourtant, en elle naissaît un sentiment nouveau, confondu entre la satisfaction sexuelle et l’accomplissement personnel. Tandis que sa langue parcourait le gland chaud de son partenaire, Charlotte voyait en l’homme dont elle masturbait les testicules le sauveur de sa confiance en elle.

Soudain, l’homme sentit l’envie de gicler monter à toute vitesse.

- Arrête-toi là. Tourne-toi. Je veux voir ton gros cul. Voilà ce que tu es pour moi, tu n’es qu’une paire de fesses à baiser.

Charlotte s’éxécutait sans mot, laissant échapper un petit sourire. Elle adorait la manière dont il traitait son corps : un pur objet sexuel. Ce que Charlotte n’avait jamais été au yeux des autres, ce mâle l’obligeait à l’assumer pleinement. La fille se trouvait maintenant tête en avant sur les genoux, le cul bien cambré en face de son partenaire.

Le quadragénaire remonta la jupe dans un mouvement pressé afin d’apercevoir le dessous de la fille. 

- Oh, quelle belle culotte ! Des petites fleurs, c’est trop mignon… Essaierais-tu de me faire croire que tu es une fille sage et innocente, peut-être ? C’est dommage, tu es bien trop trempée pour que ce soit crédible.

La honte reprit Charlotte, mais c’était désormais une honte teintée de joyeuseté. C’est vrai qu’elle mouillait terriblement. Le marin frotta sa main contre la culotte.

- Oh… !
- Tu aimes quand je me frotte ici, hein ? Ca t’excite, ma jolie…

L’homme posa sa bite lourde, encore luisante de la salive de Charlotte, sur les fesses et commença à frotter avec sur la culotte à petites fleurs.

- Oh… Oh oui…
- Je vois que ça te plaît …

Charlotte fondait sur elle-même. Le désir devenait un besoin. Elle voulait ce dard en elle. Elle voulait se faire transpercer. Il ne pouvait en être autrement.

- Allez-y, prenez-moi…
- Je n’entends pas bien. Peux-tu répéter ?

Le marin ricanait de sa bêtise.

- Je… Je n’en peux plus… S’il vous plaît, pénétrez-moi pour de vrai…

Voir cette fille à ses pieds le supplier de la baiser était vraiment le pied. Il ne s’était pas trompé sur son compte. Son potentiel de salope était bien réel et petit à petit, il la formait à le découvrir par le plaisir. 

Depuis ce jour quand il était entré dans ce bar du Havre, depuis ce soir-là quand il avait entendu cette voix claire et féline au micro, depuis cette fois-là quand il l’a aperçue sur scène, dans sa robe bleue, son coeur avait définitivement craqué.
Le marin avait trouvé devant lui la nymphe parfaite de tous ses fantasmes, la fée improbables de tout ce qu’il trouve beau et la muse vierge de tous ses vices.

Depuis, il était revenu tous les jeudis soirs pour écouter cette inconnue chanter les grands classiques du jazz. Il s’était toujours assis au fond à droite, près du comptoir de sorte que sa présence s’était faite assez discrète. Et tous les soirs en entrant dans son lit, il s’était masturbé en pensant à elle, en imaginant mille supplices qu’il lui infligerait.

De là, il s ‘était renseigé sur sa situation, son âge et sa famille. Le barman était un type très bavard, le genre de gars qui retrouve le sourire dès qu’on lui parle d’autre choses que de cocktails. Toutefois, le sympathique gars ne connaissait pas la vie privée de Charlotte et les informations qu’il apportait au capitaine ne demeuraient que floues et sommaires. Il lui fallait passer à l’étape supérieure.

Sur internet, il avait réussi à retrouver ses nombreuses coordonées: e-mail, adresse postale, facebook et même numéro de portable. Ces choses-là sont très faciles de nos jours. Il suffit d’être un poil malin pour dérober tout ce qu’on veut.

Le marin décida de faire connaissance sous un faux nom avec sa meilleure amie, Sofia, chose encore une fois très facile. Il s’était fait passer pour l’ami du meilleur copain du cousin d’un de ses potes qu’elle avait soit-disant croisé une fois en soirée. Par chance, Sofia se trouvait être une fille aussi sympathique que bavarde. Mieux que cela, Sofia raffolait des petites histoires gossip sur les gens. Si le début s’était montré long et laborieux, la lycéenne avait finit par partager les problèmes de sa meilleure amie, encore vierge et complexée. Elle lui avait raconté qu’elle n’avait jamais eu de copains et désespérait mais pourtant, elle lui semblait qu’elle était assez ouverte sur le sexe. Le capitaine s’en était léché les babines.

Et aujourd’hui, il la tenait par les hanches comme un jouet attitré. Il la pénétrait empris d’une force surnaturelle. Son gland tapinait le fond de son sexe, toujours plus loin, la faisaint crier toujours plus haut.

- Je veux te sentir en moi… ! Je t’en prie !

Charlotte tournait ses fesses autour du membre du marin. Lui ne bougeait pas. Il voulait que ce soit elle qui s’enfonce de son plein gré.
Il se contenta de décaler sa culotte trempée afin que son sexe soit libre.

- Oh oui…

La fille n’attendit que très peu de temps pour exaucer ses voeux. Sa chatte absorba le pénis dur dans un râle de jouissance. Les deux partenaires entraient dans une danse folle de va-et-viens. Charlotte se massait les seins en même temps, la tête contre le sol, bouche ouverte. Le quadragénaire la tenait par la taille et son souffle se faisait de plus en plus fort.

- C’est tellement bon !
- Oh, je vais jouir, ma chérie…
- Oui ! Oui ! Oui !

Le marin attrapa la fille et la retourna de sorte qu’il tenait sa jambe gauche en l’air et maintenait l’autre contre sa hanche. Ce changement de position lui permit de dilater plus encore la chatter de Charlotte. La fille continuait de crier de bonheur à chaque coup, demandant plus fort, plus vite, plus profond. Mais bientôt, l’envie de gicler devenait insupportable.


- Montre-moi ta face de petite salope.
- Encore ! Encore !
- Montre-moi ta face de petite pute, j’ai dit !

L’homme se retira précipitemment et renversa la chanteuse sur le côté, réussissant à lâcher une décharge de sperme chaud de justesse sur son visage encore transpirant d’excitation. Celle-ci se déposa sur le menton et le cou. La seconde, bien plus grosse, tomba en partie dans la bouche et le nez. Dans un dernier râle, le marin libéra la dernière sur le front. Quelques gouttes cloturèrent le bal de foutre.

- Oh dieu, que c’est bon…

L’odeur était si forte et excitante que Charlotte ne résista pas à se lécher les babines et s’étaler le liquide visqueux sur elle. Une fois encore, elle se régalait de l’idée d’être un pur objet sexuel, souilli par un homme viril qui lui tripotait maintenant les fesses tout en se collant contre elle.

- Quelle belle trainée tu fais…
- Oui…
- Tu as aimé ?
- Oh oui… Hihihihi ! Je suis encore toute trempée. Jamais j’aurais imaginé que c’était si bon.

Un petit silence paisible s’installa entre les deux êtres. Toutefois, une question démangeait les lèvres de Charlotte.

- Je… Je suis la première ?
- Comment ça ?

Charlotte inspira. Elle devait savoir.

- Est-ce que je suis la première que tu prends comme ça un soir en baisant dans ta voiture ?

 

 

A SUIVRE...

 



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Dim 1 déc 2013 Aucun commentaire