Episode 3 - Genre : Porno trash - Sexualité : soumission, teen, enrobée, voiture
Dernièrement, j’ai reçu beaucoup d’e-mails qui complimentaient mes textes. Je tiens
à tous vous remercier pour continuer de lires mes histoires délirantes. Ca me fait vraiment très plaisir ! J’ai donc décidé de tous vous offrir une Ferrari F-340. Je les ai posées sur la lune.
Vous pouvez venir les chercher quand vous voulez.
Bien à vous, Nichts.
« Est-ce que je suis la première que tu prends comme ça
un soir en baisant dans ta voiture ? »
Le marin se releva, ramassa son pantalon et regarda
Charlotte d’un air interrogateur.
« Pourquoi demandes-tu cela ? »
Charlotte se trouvait encore allongée nue sur le canapé
recouverte du sperme du capitaine, encore tremblante de sa jouissance.
« Tu me prends dans ta voiture. Tu pénètres à
l’improviste dans ma maison et tu me baises… comme ça ! J’aimerais savoir si je suis la première que tu traites comme un salope ou pas ? »
De la colère contenue se ressentait dans ses derniers
mots.
« Mais bien sûr que tu es une salope, ma chérie. Tu as
des envies de femelle soumise et c’est normal. C’est même ce qui te rendra plus heureuse que la moitié des filles. La plupart d’entre elles ne savent pas reconnaître leurs
désirs.
- Pour toi, toutes les filles sont des putes, alors
?
- Les putes sont payées pour répondre aux besoins sexuels
des hommes. Les petites coquines comme toi sont gratuites.
- Alors merci ! Je suis une pute tellement pas chère que je
suis gratuite. De mieux en mieux...
- Laisse-moi finir, mon p’tit cul. »
Charlotte leva les yeux.
« Les petite coquines sont gratuites parce qu’elles
assouvissent leur propres désirs. Une pute se soumet à l’homme parce que sa finalité première est l’argent. La petite coquine se soumet à l’homme parce que son plaisir s’exalte ainsi. Tu veux
juste te faire plaisir comme tout le monde. »
Cette fois, la lycéenne soupira. Le marin l’énervait à
avoir raison tout le temps. Celui-ci s’approcha un peu .
« Sincèrement, as-tu aimé comme je t’ai déshabillée à
ta propre porte ? »
Charlotte rougit.
« Oui…
- Et tu ne t’es pas sentie comblée quand je t’ai tripotée
de partout comme mon jouet personnel ?
- Si…
- Et quand je t’ai pénétrée par derrière et que tu criais
‘encore’ ? »
Charlotte ne pouvait pas admettre le contraire. Vaincue, la
fille acquiesca légèrement de la tête. Le marin s’assit à côté d’elle et lui caressa les cheveux.
« C’est parce que tu es une petite coquine soumise. Tu
aimes te sentir souillée et protégée par une autorité masculine.
- Toutes les femmes sont-elles comme moi
? »
Le capitaine sourit.
« Observe: dans un cas, l’homme a l’autorité naturelle
et la femme, petite coquine, se soumet. Dans l’autre, l’homme a l’argent et la femme, pute, se soumet. »
La fille s’assit pour écouter attentivement les prochains
mots du capitaine. Celui-ci la regarda, se replaçant debout face à elle en position de supériorité.
« Oui, les femmes sont le sexe faible. Elle sont
créées pour servir l’homme. »
En annonçant son constat, il avait adopté un ton fanatique,
sans l’ombre d’un doute, comme si c’était honteux de penser une seconde l’inverse, comme s’il était blessé quelque part par les femmes en général.
Certes, c’était extrémiste, pensa Charlotte, mais peut-être
était-ce plus simple ainsi. Lorsqu’il n’y a qu’un chemin possible, le plaisir est bien plus accessible.
Le marin se baissa et il s’embrassèrent. Après avoir
mélangé leurs salives, Charlotte aperçut l’horloge.
« Catastrophe !Tu dois partir ! Ma mère devrait déjà
être rentrée des courses !
- D’accord, je me dépèche.
- Vite, file !
- Oui, ça va, râla-t-il. »
La chanteuse et le capitaine se précipitèrent à la
porte.
« Attends, l’arrêta Charlotte. Tu ne m’as pas répondu.
Je suis la première ou pas ? »
Le marin montra un temps d’hésitation pour répondre, comme
s’il devait choisir entre le mensonge et la vérité.
« Oui, tu es la première. »
Etrangement, Charlotte craignait l’autre réponse mais
celle-ci la fit sentir mal à l’aise. Elle se révélait la pire. Le marin disparut et la porte se referma. Ce type était étrange. La lycéenne ne le connaissait pas assez pour le cerner. Mais s’il
continuait comme ça à venir à l’improviste, les choses allaient devenir très compliquées. Avait-elle peur ? Avait-elle envie ? Elle était perdue. Les émotions, c’est fatiguant, pensa-t-elle,
lasse d’interroger ses désirs.
A l’autre bout de la ville, Tristan hésitait sur ses
vêtements pour ce soir. C’était finalement arrivé : il allait seul au cinéma avec Charlotte et aujourd’hui, il allait lui montrer qu’il ne voulait pas être que son meilleur ami. Ce soir, il
l’embrasserait et lui déclarerait sa flamme. Voulant paraître détendu mais élégant, il opta pour la chemise blanche.
*Pret pour le grand soir? :p*
Un message de Sofia, une très bonne amie commune de
Charlotte et Tristan, venait de s’afficher sur son portable.
*Oui, ce soir, je lui montre que je l’aime. Je me suis
caché trop longtemps dans l’ombre. Depuis la maternelle, je suis amoureux d’elle. Chaque fois que je la vois, j’ai envie de l’embrasser de partout. Je ne tiens plus. :( Ce soir, tout change. Ca
passe ou ca casse.*
Quelques secondes plus tard, son portable sonna de
nouveau.
*Olah, Tristan, tu te chauffes, apparemment! Je me souviens
de tous tes fantasmes sur elle que tu m’as racontés, attention… ;) Ce soir, tu donnes tout et elle va craquer pour toi.*
Tristan soupira. Il pouvait le faire. Oui, il pouvait le
faire…
Dans la douche, l’eau ruisselait le long de ses formes
avantageuses. Le liquide froid tendait ses pointes vers le haut. De sa main gauche, elle racla ses gros seins pour récolter le sperme qui avait un peu séché. Elle le porta à son nez et l’odeur
forte de mâle lui déclencha des désirs sauvages. D’une frénésie inhabutelle, elle se mit soudainement à lécher langoureusement ses doigts pour avaler chaque résidu de ce foutre fort. Sa main
droite déscendit le long de ses jambes et masturba sa chatte légèrement poilue. La position n’était pas assez confortable pour profiter pleinement de la branle. Après s’être assise, la petite
coquine avait désormais meilleur accès à sa chatte et pouvait délicieusement exciter son clito. Elle n’hésita pas à rajouter sa mouille à sa bouche. La lycéenne leva un peu ses jambes et sa
main caressait son sexe descendit un peu plus bas. Charlotte ressentit une excitation particulière, étrange. Ses doigts continuèrent leur chemin jusqu’à arriver à son anus. La jeune fille
caressait sa petit trou rose et un tel exercice lui procurait de nouveaux spasmes inconnus. Curieuse de nouvelles sensations, elle appuya un peu son doigt sur son anus tout en accélérant de se
branler de l’autre main. C’est à ce moment que la jouissance explosa. Dans un petit gémissement, elle s’effondra dans sa douche. L’eau, tranquille, coulait encore sur sa silhouette
abondante.
‘Le capitaine a raison… songea-t-elle. Je suis une vraie
salope et j’adore le sexe… Comment font les autres filles pour résister ? Ca fait tellement du bien… Mais que penseraient mes parents s’ils savaient tout de ce que je faisais
?’
L’envie de se soulager la vessie la fit sortir de la
douche.
Toute propre, la chanteuse descendit et aperçut sa
mère.
« Enfin, te voilà de retour, Maman! Tu as mis du
temps.
- Euh, oui… En effet, les courses étaient longues…. Tiens,
j’ai besoin d’une bonne douche, moi. »
Une douche ? Sa mère aurait-elle aussi fait l’amour… Non,
elle devait paranoïer.
La journée passa vite. Charlotte fit ses devoirs,
s’entraîna au chant et attendit devant chez elle pour la venue de son meilleur ami et aller au cinéma voir le dernier film de Johny Depp.
La fille se sentait étrange, presque forte. Alors était-ce
sentiment-là, la confiance en soi ? Le plaisir de se sentir bien dans sa peau avec ses formes ?
‘Au diable les kilos en trop, je suis une femme belle, sexy
et épanouie, pensa-t-elle.’
La petite voiture de Tristan s’arrêta à ce moment devant sa
maison.
« Salut Charlotte ! Tu montes
? »
Celle-ci se leva et entra dans la voiture dans un déhanché
terriblement sexy.
« Bonsoir monsieur !
- Wahou, tu… Tu as l’air en forme.
- Tu trouves ? »
Charlotte se morda la lèvre inférieure. Tristan écarquilla
les yeux et son pénis se dressa instantanément. Bon dieu, combien il la désirait ce soir. Il se sentait prêt à lui sauter dessus dès maintenant et la recouvrir de baisers.
Au lieu de ça, il se contenta de démarrer.
Sur le chemin, ils discutèrent tout en s’amusant. L’air
extérieur était bon et le soleil se couchait dans de belles couleurs. Charlotte ressentait une excitation constante. Elle avait envie de remonter sa jupe et d’écarter ses jambes. Oui, elle
avait envie de baiser… ‘J’ai pourtant ma dose aujourd’hui… Pourquoi suis-je comme ça ? se raisonnait-elle.’
Posé devant le frein à main, le téléphone de Tristan
bipa.
« Tu as un message.
- Laisse, répondit Tristan. Ce n’est sûrement pas
important.
- Attends, c’est Sofia ! »
Charlotte saisit le portable, ouvrit le sms et rit de bon
coeur.
« Elle te dit *Bon courage !*. Hahaha, pourquoi
écrirait-elle ça ?
- Euh… Je ne sais pas, mentit Tristan effrayé à l’idée que
son amie lise certains messages révélateurs… Allez, repose le portable. »
Mais Charlotte n’écouta pas. La chanteuse fit défiler les
SMS précédents et ses yeux s’écarquillèrent.
« Que fais-tu ? demanda Tristan nerveusement.
Repose-le…
- C’est quoi, ça ?! »
Charlotte avait prononcé ces mots de manière détachée en
exprimant un agacement profond. ‘Oh non…’ comprit tout de suite Tristan. Trop tard, elle avait lu les messages de Sofia… La catastrophe!
« *Je me suis caché dans l’ombre. Depuis la
maternelle, je suis amoureux d’elle.* Tu rigoles ? Mais c’est de moi que tu parles ?! »
Tristan aurait tout donner pour se téléporter ailleurs
plutôt que d’affronter cette situation des plus génantes. Mais le garçon se trouvait bel et bien coincé dans la voiture à conduire avec elle.
« Alors, tu me réponds ?!
- Oui…
- Je croyais qu’on était meilleurs amis et qu’on se disait
tout ?!
- Je sais, je sais… »
Charlotte n’en revenait pas. Tristan était comme son frère
à ses yeux. Jamais elle ne l’avait perçu comme un potentiel petit copain.
« Quand je pense que tu m’as menti pendant toutes ces
années… Je suis tellement déçue… !
- Je… »
Charlotte aurait pu l’étrangler. Elle voulait se venger de
toutes ces années mensongères à son égard. La lycéenne lui donna une tape sur l’épaule.
« Tu m’as trahie pendant tout ce temps
!
- Charlotte, je…
- Quoi, tu quoi ?! »
La chanteuse regardait l’adolescent mal à l’aise dans son
siège et quelque part, ça lui plaisait. Elle voulait que ça continue.
« Tu m’aimes, c’est ça ? Je sais pas, c’est écrit-là :
*Depuis la maternelle, je suis amoureux d’elle* !
- Oui, je…
- Dis-le, alors ! Dis-le ! »
Tristan se morfondait tout en conduisant. Vaincu et confus,
il avoua.
« Je t’aime…
- Pfff… T’es pathétique, Tristan ! Toutes ces années sans
rien dire… On a même dormi ensemble plusieurs fois et tu n’as rien fait ! J’étais sure que c’était clair entre nous !
- Je suis désolé …
- *Je me souviens de tous tes fantasmes sur elle que tu
m’as racontés* t’a écrit Sofia… Pourtant, c’est pas l’envie de me tripoter qui te manquait, apparemment ?! Tu devais quand même bien avoir envie de me toucher les seins, non ?
- S’il te plait, ne…
- Tu fantasmais sur mes fesses, c’est ça ? Mes fesses
t’excitent ?
- Charlotte… »
La chanteuse voulait aller plus loin. Elle voulait le
provoquer, le voir rougir, le voir honteux de ses désirs.
« Tu l’aimes mon cul ou pas ?
- Oui…
- Et ma poitrine, elle te plait ?
- Euh, je…
- Tu t’es souvent branlé en pensant à mes seins
? »
De son côté, Tristan ne savait plus ou se mettre. La
situation était surréaliste. Il peinait à se concentrer sur la route.
« Alors, réponds ! Dis la vérité. Plus de mensonge !
Tu t’es souvent masturbé en pensant à mon corps ou non ?
- Oui…
- Tous les jours ?!
- Oui… »
Charlotte escquissa un sourire de satisfaction. Elle était
très heureuse qu’il reconnaisse ses désirs. Il se tenait droit sur son siège, immobile, tétanisé par la peur. Le voir se morfondre devant elle la ravissait.
« Et là, tu bandes ?
- Euh, n…
- Et si je mets ma main entre mes deux
jambes…
- Qu…?
- Attends, j’enlève ma culotte, mon
poussin.
- Charlotte, enfin ! »
D’un geste divin, la lycéenne attrapa sa culotte rose, leva
légèrement les jambes et la ressortit pour la placer sous le nez de Tristan.
« Alors, elle te plaît, ma culotte ?
- Charlotte ! S’il te plait, je
conduis… »
Mais déjà Charlotte percevait un changement dans le
comportemant de Tristan. Sa tête s’était légèrement rapprochée du sous-vêtement.
« Tu aimes l’odeur ?
- Euh…
- Lèche.
- Quoi ?
- Lèche ma culotte, je t’ai dit ! Lèche, allez. Tu vas pas
en plus me faire attendre. »
Antoine se dit que la situation sur la route pouvait
devenir dangereuse. Mieux valait finir tout ça au plus vite. Il tendit sa langue et caressa avec le tissu intime. Charlotte se nourrissait de l’érotisme de cette scène. Voir un homme fondre
pour sa culotte, c’était tellement gratifiant.
« Attends que je me masturbe en meme temps, tant qu’on y
est…
- Oh mon dieu, Charlotte…
- Mmmh, oui, j’adore me caresser entre les jambes… Oh
oui…
- Seigneur...
- Oh, tiens tiens, c’est quoi cette bosse sur ton pantalon
? »
Une fois encore, Tristan devint plus rouge que la honte
elle-même. La fille décomplexée plaça sa main sur la braguette en la fermant bien sur le cilindre de chair.
« Humm….
- On dirait que tu aimes, mon coquin...
- Charlotte, s’il te plait… Je conduis,
là… »
Totalement indifférente, Charlotte ouvrit sa braguette,
tira sur le boxer et sortit son pénis tendu. Il semblait plus long que le marin mais moins épais, un peu tordu vers la gauche. Autre différence, la tige et la base se montrait totalement
imberbe.
« Hummm… Oh, mon dieu...
- Non, maintenant, tu m’appelles ‘ma déesse’. Je suis une
fille, je te signale.
- Quoi ?
- Je veux que tu m’appelles ‘ma déesse’. Tu comprends
?
- Enfin, mais t’es follAAAAAH! »
Charlotte avait glissé sa main sous le boxer et lui tenait
fermement les couilles. Tristan avait un mal de chien à se focaliser encore un minimum sur la route. Heureusement, la route était droite et déserte.
« Oui, ma déesse ! Oui, ma déesse !
- Voilà qui est mieux, petit coquin.
Maintenant… »
Charlotte plaça sa culotte dans la bouche de
Tristan.
« Eeemmmh !
- Fais pas de bruit, conduis et laisse-toi
faire…
- Mmmmh... »
Tristan s’apprétait à recracher la culotte quand il sentit
la langue de Charlotte se déposer sur le bout de son gland. Elle se mit à tapoter dessus en déposant sa salive. Il sentit une bouffée de chaleur monter en lui. Charlotte fit tourner sa langue
humide autour de son gland chaud puis titilla l’entrée.
Oui, Tristan pouvait recracher la culotte qui n’était pas
tant enfoncée dans sa bouche mais… mais… c’était tellement meilleur de la garder dans la bouche et de se laisser faire ! De plus, elle suçait divinement et sa bouche s’enfonçait peu à peu le
long de son pénis. La sensation s’avérait exquise.
La jeune salope posa une main sur la tige du pénis tout
enfonçant très lentement et très progressivement sa bouche, profitant de chaque centimère de chair sexuelle. Son autre main féline attrapa sa paire de couille et elle entreprit de les malaxer
comme le capitaine lui avait si bien appris. Contrairement à celles du marin, celles-là tombaient beaucoup ce qui permettait de bien mieux jouer avec.
Peu à peu, l’odeur de sexe montait aux narines de Charlotte
et celle-ci l’inspirait profondément. Oui, c’était cela qu’elle préférait : l’odeur de bite, le parfum de foutre. Chaque inspiration révélait dans son corps féminin une soif sexuelle infinie.
Ses va-et-viens s’accélairaient.
Noyé dans ce gouffre infini de plaisir, la route devanait
flou pour Tristan si bien qu’il n’aperçut même pas ce camion qui fonçait en sens inverse droit devant…
A SUIVRE… !
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