Dimanche 1 décembre 7 01 /12 /Déc 20:48

Episode 3 - Genre : Porno trash - Sexualité : soumission, teen, enrobée, voiture

 

Dernièrement, j’ai reçu beaucoup d’e-mails qui complimentaient mes textes. Je tiens à tous vous remercier pour continuer de lires mes histoires délirantes. Ca me fait vraiment très plaisir ! J’ai donc décidé de tous vous offrir une Ferrari F-340. Je les ai posées sur la lune. Vous pouvez venir les chercher quand vous voulez.

Bien à vous, Nichts.

 

Sophie-Dee-Big-Tits-007

 

« Est-ce que je suis la première que tu prends comme ça un soir en baisant dans ta voiture ? »

Le marin se releva, ramassa son pantalon et regarda Charlotte d’un air interrogateur.

« Pourquoi demandes-tu cela ? »

Charlotte se trouvait encore allongée nue sur le canapé recouverte du sperme du capitaine, encore tremblante de sa jouissance.

« Tu me prends dans ta voiture. Tu pénètres à l’improviste dans ma maison et tu me baises… comme ça ! J’aimerais savoir si je suis la première que tu traites comme un salope ou pas ? »

De la colère contenue se ressentait dans ses derniers mots.

« Mais bien sûr que tu es une salope, ma chérie. Tu as des envies de femelle soumise et c’est normal. C’est même ce qui te rendra plus heureuse que la moitié des filles. La plupart d’entre elles ne savent pas reconnaître leurs désirs.
- Pour toi, toutes les filles sont des putes, alors ?
- Les putes sont payées pour répondre aux besoins sexuels des hommes. Les petites coquines comme toi sont gratuites.
- Alors merci ! Je suis une pute tellement pas chère que je suis gratuite. De mieux en mieux...
- Laisse-moi finir, mon p’tit cul. »

Charlotte leva les yeux.

« Les petite coquines sont gratuites parce qu’elles assouvissent leur propres désirs. Une pute se soumet à l’homme parce que sa finalité première est l’argent. La petite coquine se soumet à l’homme parce que son plaisir s’exalte ainsi. Tu veux juste te faire plaisir comme tout le monde. »

Cette fois, la lycéenne soupira. Le marin l’énervait à avoir raison tout le temps. Celui-ci s’approcha un peu .

« Sincèrement, as-tu aimé comme je t’ai déshabillée à ta propre porte ? »

Charlotte rougit.

« Oui…
- Et tu ne t’es pas sentie comblée quand je t’ai tripotée de partout comme mon jouet personnel ?
- Si… 
- Et quand je t’ai pénétrée par derrière et que tu criais ‘encore’ ? »

Charlotte ne pouvait pas admettre le contraire. Vaincue, la fille acquiesca légèrement de la tête. Le marin s’assit à côté d’elle et lui caressa les cheveux.

« C’est parce que tu es une petite coquine soumise. Tu aimes te sentir souillée et protégée par une autorité masculine.
- Toutes les femmes sont-elles comme moi ? »

Le capitaine sourit.

« Observe: dans un cas, l’homme a l’autorité naturelle et la femme, petite coquine, se soumet. Dans l’autre, l’homme a l’argent et la femme, pute, se soumet. »

La fille s’assit pour écouter attentivement les prochains mots du capitaine. Celui-ci la regarda, se replaçant debout face à elle en position de supériorité.

« Oui, les femmes sont le sexe faible. Elle sont créées pour servir l’homme. »

En annonçant son constat, il avait adopté un ton fanatique, sans l’ombre d’un doute, comme si c’était honteux de penser une seconde l’inverse, comme s’il était blessé quelque part par les femmes en général. 

Certes, c’était extrémiste, pensa Charlotte, mais peut-être était-ce plus simple ainsi. Lorsqu’il n’y a qu’un chemin possible, le plaisir est bien plus accessible.

Le marin se baissa et il s’embrassèrent. Après avoir mélangé leurs salives, Charlotte aperçut l’horloge.

« Catastrophe !Tu dois partir ! Ma mère devrait déjà être rentrée des courses !
- D’accord, je me dépèche.
- Vite, file !
- Oui, ça va, râla-t-il. »

La chanteuse et le capitaine se précipitèrent à la porte.

« Attends, l’arrêta Charlotte. Tu ne m’as pas répondu. Je suis la première ou pas ? »

Le marin montra un temps d’hésitation pour répondre, comme s’il devait choisir entre le mensonge et la vérité.

« Oui, tu es la première. »

Etrangement, Charlotte craignait l’autre réponse mais celle-ci la fit sentir mal à l’aise. Elle se révélait la pire. Le marin disparut et la porte se referma. Ce type était étrange. La lycéenne ne le connaissait pas assez pour le cerner. Mais s’il continuait comme ça à venir à l’improviste, les choses allaient devenir très compliquées. Avait-elle peur ? Avait-elle envie ? Elle était perdue. Les émotions, c’est fatiguant, pensa-t-elle, lasse d’interroger ses désirs.



A l’autre bout de la ville, Tristan hésitait sur ses vêtements pour ce soir. C’était finalement arrivé : il allait seul au cinéma avec Charlotte et aujourd’hui, il allait lui montrer qu’il ne voulait pas être que son meilleur ami. Ce soir, il l’embrasserait et lui déclarerait sa flamme. Voulant paraître détendu mais élégant, il opta pour la chemise blanche.

*Pret pour le grand soir? :p*

Un message de Sofia, une très bonne amie commune de Charlotte et Tristan, venait de s’afficher sur son portable.

*Oui, ce soir, je lui montre que je l’aime. Je me suis caché trop longtemps dans l’ombre. Depuis la maternelle, je suis amoureux d’elle. Chaque fois que je la vois, j’ai envie de l’embrasser de partout. Je ne tiens plus. :( Ce soir, tout change. Ca passe ou ca casse.*

Quelques secondes plus tard, son portable sonna de nouveau.

*Olah, Tristan, tu te chauffes, apparemment! Je me souviens de tous tes fantasmes sur elle que tu m’as racontés, attention… ;) Ce soir, tu donnes tout et elle va craquer pour toi.*

Tristan soupira. Il pouvait le faire. Oui, il pouvait le faire…



Dans la douche, l’eau ruisselait le long de ses formes avantageuses. Le liquide froid tendait ses pointes vers le haut. De sa main gauche, elle racla ses gros seins pour récolter le sperme qui avait un peu séché. Elle le porta à son nez et l’odeur forte de mâle lui déclencha des désirs sauvages. D’une frénésie inhabutelle, elle se mit soudainement à lécher langoureusement ses doigts pour avaler chaque résidu de ce foutre fort. Sa main droite déscendit le long de ses jambes et masturba sa chatte légèrement poilue. La position n’était pas assez confortable pour profiter pleinement de la branle. Après s’être assise, la petite coquine avait désormais meilleur accès à sa chatte et pouvait délicieusement exciter son clito. Elle n’hésita pas à rajouter sa mouille à sa bouche. La lycéenne leva un peu ses jambes et sa main caressait son sexe descendit un peu plus bas. Charlotte ressentit une excitation particulière, étrange. Ses doigts continuèrent leur chemin jusqu’à arriver à son anus. La jeune fille caressait sa petit trou rose et un tel exercice lui procurait de nouveaux spasmes inconnus. Curieuse de nouvelles sensations, elle appuya un peu son doigt sur son anus tout en accélérant de se branler de l’autre main. C’est à ce moment que la jouissance explosa. Dans un petit gémissement, elle s’effondra dans sa douche. L’eau, tranquille, coulait encore sur sa silhouette abondante. 

‘Le capitaine a raison… songea-t-elle. Je suis une vraie salope et j’adore le sexe… Comment font les autres filles pour résister ? Ca fait tellement du bien… Mais que penseraient mes parents s’ils savaient tout de ce que je faisais ?’ 

L’envie de se soulager la vessie la fit sortir de la douche.

Toute propre, la chanteuse descendit et aperçut sa mère.

« Enfin, te voilà de retour, Maman! Tu as mis du temps.
- Euh, oui… En effet, les courses étaient longues…. Tiens, j’ai besoin d’une bonne douche, moi. »

Une douche ? Sa mère aurait-elle aussi fait l’amour… Non, elle devait paranoïer.



La journée passa vite. Charlotte fit ses devoirs, s’entraîna au chant et attendit devant chez elle pour la venue de son meilleur ami et aller au cinéma voir le dernier film de Johny Depp.
La fille se sentait étrange, presque forte. Alors était-ce sentiment-là, la confiance en soi ? Le plaisir de se sentir bien dans sa peau avec ses formes ? 
‘Au diable les kilos en trop, je suis une femme belle, sexy et épanouie, pensa-t-elle.’
La petite voiture de Tristan s’arrêta à ce moment devant sa maison.

« Salut Charlotte ! Tu montes ? »

Celle-ci se leva et entra dans la voiture dans un déhanché terriblement sexy.

« Bonsoir monsieur !
- Wahou, tu… Tu as l’air en forme.
- Tu trouves ? »

Charlotte se morda la lèvre inférieure. Tristan écarquilla les yeux et son pénis se dressa instantanément. Bon dieu, combien il la désirait ce soir. Il se sentait prêt à lui sauter dessus dès maintenant et la recouvrir de baisers.
Au lieu de ça, il se contenta de démarrer.

Sur le chemin, ils discutèrent tout en s’amusant. L’air extérieur était bon et le soleil se couchait dans de belles couleurs. Charlotte ressentait une excitation constante. Elle avait envie de remonter sa jupe et d’écarter ses jambes. Oui, elle avait envie de baiser… ‘J’ai pourtant ma dose aujourd’hui… Pourquoi suis-je comme ça ? se raisonnait-elle.’

Posé devant le frein à main, le téléphone de Tristan bipa.

« Tu as un message.
- Laisse, répondit Tristan. Ce n’est sûrement pas important.
- Attends, c’est Sofia ! »

Charlotte saisit le portable, ouvrit le sms et rit de bon coeur.

« Elle te dit *Bon courage !*. Hahaha, pourquoi écrirait-elle ça ?
- Euh… Je ne sais pas, mentit Tristan effrayé à l’idée que son amie lise certains messages révélateurs… Allez, repose le portable. »

Mais Charlotte n’écouta pas. La chanteuse fit défiler les SMS précédents et ses yeux s’écarquillèrent.

« Que fais-tu ? demanda Tristan nerveusement. Repose-le…
- C’est quoi, ça ?! »

Charlotte avait prononcé ces mots de manière détachée en exprimant un agacement profond. ‘Oh non…’ comprit tout de suite Tristan. Trop tard, elle avait lu les messages de Sofia… La catastrophe!

« *Je me suis caché dans l’ombre. Depuis la maternelle, je suis amoureux d’elle.* Tu rigoles ? Mais c’est de moi que tu parles ?! »

Tristan aurait tout donner pour se téléporter ailleurs plutôt que d’affronter cette situation des plus génantes. Mais le garçon se trouvait bel et bien coincé dans la voiture à conduire avec elle.

« Alors, tu me réponds ?!
- Oui…
- Je croyais qu’on était meilleurs amis et qu’on se disait tout ?!
- Je sais, je sais… »

Charlotte n’en revenait pas. Tristan était comme son frère à ses yeux. Jamais elle ne l’avait perçu comme un potentiel petit copain.

« Quand je pense que tu m’as menti pendant toutes ces années… Je suis tellement déçue… !
- Je… »

Charlotte aurait pu l’étrangler. Elle voulait se venger de toutes ces années mensongères à son égard. La lycéenne lui donna une tape sur l’épaule.

« Tu m’as trahie pendant tout ce temps !
- Charlotte, je…
- Quoi, tu quoi ?! »

La chanteuse regardait l’adolescent mal à l’aise dans son siège et quelque part, ça lui plaisait. Elle voulait que ça continue.

« Tu m’aimes, c’est ça ? Je sais pas, c’est écrit-là : *Depuis la maternelle, je suis amoureux d’elle* !
- Oui, je…
- Dis-le, alors ! Dis-le ! »

Tristan se morfondait tout en conduisant. Vaincu et confus, il avoua.

« Je t’aime…
- Pfff… T’es pathétique, Tristan ! Toutes ces années sans rien dire… On a même dormi ensemble plusieurs fois et tu n’as rien fait ! J’étais sure que c’était clair entre nous !
- Je suis désolé …
- *Je me souviens de tous tes fantasmes sur elle que tu m’as racontés* t’a écrit Sofia… Pourtant, c’est pas l’envie de me tripoter qui te manquait, apparemment ?! Tu devais quand même bien avoir envie de me toucher les seins, non ?
- S’il te plait, ne…
- Tu fantasmais sur mes fesses, c’est ça ? Mes fesses t’excitent ?
- Charlotte… »

La chanteuse voulait aller plus loin. Elle voulait le provoquer, le voir rougir, le voir honteux de ses désirs.

« Tu l’aimes mon cul ou pas ?
- Oui…
- Et ma poitrine, elle te plait ?
- Euh, je…
- Tu t’es souvent branlé en pensant à mes seins ? »

De son côté, Tristan ne savait plus ou se mettre. La situation était surréaliste. Il peinait à se concentrer sur la route.

« Alors, réponds ! Dis la vérité. Plus de mensonge ! Tu t’es souvent masturbé en pensant à mon corps ou non ?
- Oui…
- Tous les jours ?!
- Oui… »

Charlotte escquissa un sourire de satisfaction. Elle était très heureuse qu’il reconnaisse ses désirs. Il se tenait droit sur son siège, immobile, tétanisé par la peur. Le voir se morfondre devant elle la ravissait.

« Et là, tu bandes ?
- Euh, n…
- Et si je mets ma main entre mes deux jambes…
- Qu…?
- Attends, j’enlève ma culotte, mon poussin.
- Charlotte, enfin ! »

D’un geste divin, la lycéenne attrapa sa culotte rose, leva légèrement les jambes et la ressortit pour la placer sous le nez de Tristan.

« Alors, elle te plaît, ma culotte ?
- Charlotte ! S’il te plait, je conduis… »

Mais déjà Charlotte percevait un changement dans le comportemant de Tristan. Sa tête s’était légèrement rapprochée du sous-vêtement.

« Tu aimes l’odeur ? 
- Euh…
- Lèche.
- Quoi ?
- Lèche ma culotte, je t’ai dit ! Lèche, allez. Tu vas pas en plus me faire attendre. »

Antoine se dit que la situation sur la route pouvait devenir dangereuse. Mieux valait finir tout ça au plus vite. Il tendit sa langue et caressa avec le tissu intime. Charlotte se nourrissait de l’érotisme de cette scène. Voir un homme fondre pour sa culotte, c’était tellement gratifiant.

« Attends que je me masturbe en meme temps, tant qu’on y est…
- Oh mon dieu, Charlotte…
- Mmmh, oui, j’adore me caresser entre les jambes… Oh oui…
- Seigneur...
- Oh, tiens tiens, c’est quoi cette bosse sur ton pantalon ? »

Une fois encore, Tristan devint plus rouge que la honte elle-même. La fille décomplexée plaça sa main sur la braguette en la fermant bien sur le cilindre de chair.

« Humm….
- On dirait que tu aimes, mon coquin...
- Charlotte, s’il te plait… Je conduis, là… »

Totalement indifférente, Charlotte ouvrit sa braguette, tira sur le boxer et sortit son pénis tendu. Il semblait plus long que le marin mais moins épais, un peu tordu vers la gauche. Autre différence, la tige et la base se montrait totalement imberbe.

« Hummm… Oh, mon dieu...
- Non, maintenant, tu m’appelles ‘ma déesse’. Je suis une fille, je te signale.
- Quoi ?
- Je veux que tu m’appelles ‘ma déesse’. Tu comprends ?
- Enfin, mais t’es follAAAAAH! »

Charlotte avait glissé sa main sous le boxer et lui tenait fermement les couilles. Tristan avait un mal de chien à se focaliser encore un minimum sur la route. Heureusement, la route était droite et déserte.

« Oui, ma déesse ! Oui, ma déesse !
- Voilà qui est mieux, petit coquin. Maintenant… »

Charlotte plaça sa culotte dans la bouche de Tristan.

« Eeemmmh !
- Fais pas de bruit, conduis et laisse-toi faire…
- Mmmmh... »

Tristan s’apprétait à recracher la culotte quand il sentit la langue de Charlotte se déposer sur le bout de son gland. Elle se mit à tapoter dessus en déposant sa salive. Il sentit une bouffée de chaleur monter en lui. Charlotte fit tourner sa langue humide autour de son gland chaud puis titilla l’entrée.

Oui, Tristan pouvait recracher la culotte qui n’était pas tant enfoncée dans sa bouche mais… mais… c’était tellement meilleur de la garder dans la bouche et de se laisser faire ! De plus, elle suçait divinement et sa bouche s’enfonçait peu à peu le long de son pénis. La sensation s’avérait exquise.

La jeune salope posa une main sur la tige du pénis tout enfonçant très lentement et très progressivement sa bouche, profitant de chaque centimère de chair sexuelle. Son autre main féline attrapa sa paire de couille et elle entreprit de les malaxer comme le capitaine lui avait si bien appris. Contrairement à celles du marin, celles-là tombaient beaucoup ce qui permettait de bien mieux jouer avec.

Peu à peu, l’odeur de sexe montait aux narines de Charlotte et celle-ci l’inspirait profondément. Oui, c’était cela qu’elle préférait : l’odeur de bite, le parfum de foutre. Chaque inspiration révélait dans son corps féminin une soif sexuelle infinie. Ses va-et-viens s’accélairaient.

Noyé dans ce gouffre infini de plaisir, la route devanait flou pour Tristan si bien qu’il n’aperçut même pas ce camion qui fonçait en sens inverse droit devant…


A SUIVRE… !

 



Par Mr. Nichts - Publié dans : Série - Charlotte, Chanteuse Vierge, et Le Marin - Communauté : Ecritures Très Coquines
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Dimanche 1 décembre 7 01 /12 /Déc 20:43

Episode 4 - Genre : Porno trash - Sexualité: soumission, dépucelage, teen, enrobée

 

En relisant certaines de mes histoires, je trouve tout cela vraiment dégueulasse.
 

Bien à vous, Nichts.

 

theropeview-Sophie-Dee

 

Charlotte suçait toujours aussi soigneusement le pénis solide du capitaine, animée par une frénésie aussi lointaine qu’évidente, aussi agréable que vicieuse.

- Oh oui, petite chienne, tu le fais si bien…

Le marin lui caressait sa chevelure noire comme ferait un maître à son chien docile. La vision de la scène ressemblait à un tableau épique. L’homme dont les traits marqués par le vent polaire trônait sur le fauteuil comme un roi de droit divin. A genoux et courbée, la lycéenne gâtait le sexe de son supérieur comme n’importe quelle putain se serait dévouée corps et âme. Son regard clos témoignaient à quel point la lycéenne ne pouvait admettre sa vraie nature.

- Pourquoi fermes-tu les yeux ? Ne veux-tu pas admirer comme tu suces bien ? 

Son visage pâle rougit de honte.

- Je veux que tu me vois dans les yeux. Regarde ton capitaine pendant que tu le suces, petite salope.

Charlotte ouvrit alors instantanément ses paupières et fixa directement le marin. Ce dernier nota bien qu’elle obéissait toujours mieux lorsqu’il la traitait d’insultes dégradandes. Il s’émanait une sorte d’électricté dans l’air. Petit à petit, tandis qu’il se mettait à grogner, il effectuait quelques va-et-viens dans sa bouche. La fille ronde s’étonnait du plaisir qu’elle éprouvait à satisfaire un homme. Elle découvrait son pouvoir féminin. La chanteuse entreprit même de lui masser aussi les couilles.

- Oh oui, ma petite pute, quelle bonne idée… Tu t’améliores...

La chanteuse se surprit à penser à ses amies. Si seulement Sofia, sa meilleure copine, savait qu’elle était en ce moment en train de soigner une fellation à un homme bien plus âgé rencontré durant une nuit alcoolisée. Charlotte s’était toujours persudadée que son physique était moche, et pas seulement ses courbes accentuées, aussi son visage, sa peau, ses cheveux... Toute son adolescence, elle s’était persuadée que sa prestation sera une catastrophe au lit et que les garçons la jetteraient comme une incomestible.

Pourtant, en elle naissaît un sentiment nouveau, confondu entre la satisfaction sexuelle et l’accomplissement personnel. Tandis que sa langue parcourait le gland chaud de son partenaire, Charlotte voyait en l’homme dont elle masturbait les testicules le sauveur de sa confiance en elle.

Soudain, l’homme sentit l’envie de gicler monter à toute vitesse.

- Arrête-toi là. Tourne-toi. Je veux voir ton gros cul. Voilà ce que tu es pour moi, tu n’es qu’une paire de fesses à baiser.

Charlotte s’éxécutait sans mot, laissant échapper un petit sourire. Elle adorait la manière dont il traitait son corps : un pur objet sexuel. Ce que Charlotte n’avait jamais été au yeux des autres, ce mâle l’obligeait à l’assumer pleinement. La fille se trouvait maintenant tête en avant sur les genoux, le cul bien cambré en face de son partenaire.

Le quadragénaire remonta la jupe dans un mouvement pressé afin d’apercevoir le dessous de la fille. 

- Oh, quelle belle culotte ! Des petites fleurs, c’est trop mignon… Essaierais-tu de me faire croire que tu es une fille sage et innocente, peut-être ? C’est dommage, tu es bien trop trempée pour que ce soit crédible.

La honte reprit Charlotte, mais c’était désormais une honte teintée de joyeuseté. C’est vrai qu’elle mouillait terriblement. Le marin frotta sa main contre la culotte.

- Oh… !
- Tu aimes quand je me frotte ici, hein ? Ca t’excite, ma jolie…

L’homme posa sa bite lourde, encore luisante de la salive de Charlotte, sur les fesses et commença à frotter avec sur la culotte à petites fleurs.

- Oh… Oh oui…
- Je vois que ça te plaît …

Charlotte fondait sur elle-même. Le désir devenait un besoin. Elle voulait ce dard en elle. Elle voulait se faire transpercer. Il ne pouvait en être autrement.

- Allez-y, prenez-moi…
- Je n’entends pas bien. Peux-tu répéter ?

Le marin ricanait de sa bêtise.

- Je… Je n’en peux plus… S’il vous plaît, pénétrez-moi pour de vrai…

Voir cette fille à ses pieds le supplier de la baiser était vraiment le pied. Il ne s’était pas trompé sur son compte. Son potentiel de salope était bien réel et petit à petit, il la formait à le découvrir par le plaisir. 

Depuis ce jour quand il était entré dans ce bar du Havre, depuis ce soir-là quand il avait entendu cette voix claire et féline au micro, depuis cette fois-là quand il l’a aperçue sur scène, dans sa robe bleue, son coeur avait définitivement craqué.
Le marin avait trouvé devant lui la nymphe parfaite de tous ses fantasmes, la fée improbables de tout ce qu’il trouve beau et la muse vierge de tous ses vices.

Depuis, il était revenu tous les jeudis soirs pour écouter cette inconnue chanter les grands classiques du jazz. Il s’était toujours assis au fond à droite, près du comptoir de sorte que sa présence s’était faite assez discrète. Et tous les soirs en entrant dans son lit, il s’était masturbé en pensant à elle, en imaginant mille supplices qu’il lui infligerait.

De là, il s ‘était renseigé sur sa situation, son âge et sa famille. Le barman était un type très bavard, le genre de gars qui retrouve le sourire dès qu’on lui parle d’autre choses que de cocktails. Toutefois, le sympathique gars ne connaissait pas la vie privée de Charlotte et les informations qu’il apportait au capitaine ne demeuraient que floues et sommaires. Il lui fallait passer à l’étape supérieure.

Sur internet, il avait réussi à retrouver ses nombreuses coordonées: e-mail, adresse postale, facebook et même numéro de portable. Ces choses-là sont très faciles de nos jours. Il suffit d’être un poil malin pour dérober tout ce qu’on veut.

Le marin décida de faire connaissance sous un faux nom avec sa meilleure amie, Sofia, chose encore une fois très facile. Il s’était fait passer pour l’ami du meilleur copain du cousin d’un de ses potes qu’elle avait soit-disant croisé une fois en soirée. Par chance, Sofia se trouvait être une fille aussi sympathique que bavarde. Mieux que cela, Sofia raffolait des petites histoires gossip sur les gens. Si le début s’était montré long et laborieux, la lycéenne avait finit par partager les problèmes de sa meilleure amie, encore vierge et complexée. Elle lui avait raconté qu’elle n’avait jamais eu de copains et désespérait mais pourtant, elle lui semblait qu’elle était assez ouverte sur le sexe. Le capitaine s’en était léché les babines.

Et aujourd’hui, il la tenait par les hanches comme un jouet attitré. Il la pénétrait empris d’une force surnaturelle. Son gland tapinait le fond de son sexe, toujours plus loin, la faisaint crier toujours plus haut.

- Je veux te sentir en moi… ! Je t’en prie !

Charlotte tournait ses fesses autour du membre du marin. Lui ne bougeait pas. Il voulait que ce soit elle qui s’enfonce de son plein gré.
Il se contenta de décaler sa culotte trempée afin que son sexe soit libre.

- Oh oui…

La fille n’attendit que très peu de temps pour exaucer ses voeux. Sa chatte absorba le pénis dur dans un râle de jouissance. Les deux partenaires entraient dans une danse folle de va-et-viens. Charlotte se massait les seins en même temps, la tête contre le sol, bouche ouverte. Le quadragénaire la tenait par la taille et son souffle se faisait de plus en plus fort.

- C’est tellement bon !
- Oh, je vais jouir, ma chérie…
- Oui ! Oui ! Oui !

Le marin attrapa la fille et la retourna de sorte qu’il tenait sa jambe gauche en l’air et maintenait l’autre contre sa hanche. Ce changement de position lui permit de dilater plus encore la chatter de Charlotte. La fille continuait de crier de bonheur à chaque coup, demandant plus fort, plus vite, plus profond. Mais bientôt, l’envie de gicler devenait insupportable.


- Montre-moi ta face de petite salope.
- Encore ! Encore !
- Montre-moi ta face de petite pute, j’ai dit !

L’homme se retira précipitemment et renversa la chanteuse sur le côté, réussissant à lâcher une décharge de sperme chaud de justesse sur son visage encore transpirant d’excitation. Celle-ci se déposa sur le menton et le cou. La seconde, bien plus grosse, tomba en partie dans la bouche et le nez. Dans un dernier râle, le marin libéra la dernière sur le front. Quelques gouttes cloturèrent le bal de foutre.

- Oh dieu, que c’est bon…

L’odeur était si forte et excitante que Charlotte ne résista pas à se lécher les babines et s’étaler le liquide visqueux sur elle. Une fois encore, elle se régalait de l’idée d’être un pur objet sexuel, souilli par un homme viril qui lui tripotait maintenant les fesses tout en se collant contre elle.

- Quelle belle trainée tu fais…
- Oui…
- Tu as aimé ?
- Oh oui… Hihihihi ! Je suis encore toute trempée. Jamais j’aurais imaginé que c’était si bon.

Un petit silence paisible s’installa entre les deux êtres. Toutefois, une question démangeait les lèvres de Charlotte.

- Je… Je suis la première ?
- Comment ça ?

Charlotte inspira. Elle devait savoir.

- Est-ce que je suis la première que tu prends comme ça un soir en baisant dans ta voiture ?

 

 

A SUIVRE...

 



Cela t'a plu ? Cela ne t'a pas plu ? Fais-moi le savoir en commentaire. :) Je suis curieux !

Par Mr. Nichts - Publié dans : Série - Charlotte, Chanteuse Vierge, et Le Marin - Communauté : Ecritures Très Coquines
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Dimanche 1 décembre 7 01 /12 /Déc 20:39

Episode 3 - Genre : Porno trash - Sexualité : soumission, dépucelage, teen, enrobée

 

Je me demandais... Comment êtes-vous atterri sur mon blog ?

En tout cas, je vous en remercie et je vous souhaite une bonne lecture.

Ah, les pâtes sont cuites!

 

Bien à vous, Nichts.

 

10-1

 

- Vous ... Hen ! êtes mon ... Hen ! Capitaine... Hen !
- Maintenant, tu répondras toujours par "oui, mon capitaine".... Ho ! ... Compris ?
- Hen ! Hen ! Hen ! Oui ... Hen !
- Oui qui ?
- Hen ! Hen ! Oui ! Hen ! Oui, mon capitaine ! Hen ! Hen ! 
- Alors dis-moi qui aime se faire baiser comme une grosse salope par son capitaine ?
- Hen ! Hen ! Hen !
- Qui c'est, ma grosse salope ?
- Hen ! C'est moi ... Hen ! Vous êtes mon capitaine ... Hen ! Hen !
- Bien ! Tu es une bonne soumise. Tu mérites ton dû.

Le marin se retira de la chanteuse et éjacula sur son imposante poitrine. Il râla pendant un demi-minute, crachant sa liqueur virile à plusieurs reprises. La jeune fille se trouvait fort surprise par la quantité et l'odeur envahissante de la semence. Le liquide était chaud sur sa poitrine et lui déclenchait encore quelques frissons. Recouverte, la chanteuse se sentit soudain si épuisée que ses yeux se fermèrent d'eux-même.

La Lune passa en ronde au dessus d'eux et les oiseaux se mirent à chanter. Charlotte se réveilla. La dépucelée voulut bouger ses jambes mais constata qu'elle se trouvait dans les bras de son marin, sur la banquette arrière. Le couple était enlacé l'un dans l'autre comme des amoureux dans une chanson romantique: le lever du soleil, la mer, les oiseaux.

Charlotte observa l'homme dormir. Il semblait serein. Il avait de beaux sourcils. Puis elle prit conscience qu'elle était nue et s'en trouva extrêmement gênée.

- Hey, tout va bien?

Il venait de se réveiller.

- Oui, je…
- As-tu bien dormi?
- Oui, mais...
- Ne t'inquiète pas, tout va bien. Je vais te ramener chez toi, d'accord ? Tes habits sont sur le siège avant, regarde. Peut-être as-tu une petite faim ?

La lycéenne était très surprise que le marin se comporte de manière si intentionnée. Après avoir constaté que son portable n'avait plus de batterie, elle se rhabilla rapidement et accepta d'aller prendre un petit déjeuner. Ils trouvèrent un petit café sur un quai. Même si elle était toujours gênée, le marin papotait, racontait de courtes histoires et parvenait même parfois à faire rire la chanteuse.
Après quoi, il la raccompagna chez elle. En sortant de la voiture, Charlotte se retourna et passa sa tête afin de regarder le marin dans les yeux :

- Je ne peux pas m'empêcher de dire que... De demander si...
- Ne dis rien. On ne dit rien, d'accord ?
- Je...

Il lui fit un bisou sur le front puis démarra la voiture qui disparut dans les rues perdues du Havre.

"Je suis si stupide."

Charlotte se trouvait nulle ! Elle aurait du dire qu'elle allait se plaindre, qu'elle n'était pas d'accord pour qu'on la traite ainsi, qu'elle ne se laisserait pas faire ! Pourtant, elle n'avait rien dit. La jeune fille avait même accepter un petit déjeuner avec lui.

"Stupide, stupide, stupide !"

Charlotte entra chez elle. Ses parents n'étaient pas très inquiets. Ils pensaient qu'elle avait dormi chez une amie sans prévenir, comme à son habitude.

- Mais je préférerai que tu nous préviennes, tout de même, Charlotte, d'accord ?
- Oui, Maman, j'y penserai, pardon.
- Viens, on va déjeuner maintenant.
- Oui, je me douche et j'arrive.

Charlotte pénétra la douche. Pour cause : elle était recouverte de sueur de la veille (et d'autre). L'eau sur elle coulait le long de ses formes, son ventre courbé, entre ses fesses, sur la point de ses seins. La fillette s'apprêtait à se savonner lorsqu'elle voulut vérifier quelque chose : elle passa sa main gauche entre ses jambes et, écartant ses quelques poils, toucha un liquide visqueux. La texture l'intriguait. Cela avait une odeur très forte. Elle l'approcha de ses narines puis de sa bouche. Elle tendit la langue et lécha une pointe.
« Hen, mais que fais-je ? » Elle s'arrêta net et finit sa douche normalement.
« Stupide ! Stupide ! Stupide » repensa-t-elle.

Habillée, la lycéenne descendit dans la cuisine. Alors qu'elle entamait son repas avec sa famille, elle repensa au marin. Savait-il comment elle allait réagir ? Planifiait-il de la violer depuis longtemps ? Était-ce vraiment cela, un viol ? Pourquoi n'avait-elle pas essayer de plus se débattre ? Pourquoi se sentait-elle si bien contre lui ? Pourquoi s'était-il comporté en si bon gentleman le lendemain ?

Même pendant qu'elle étudiait, son esprit restait fixé sur cet homme qui avait bouleversé sa vie, particulièrement sur une image : lorsque le marin se tenait dressé devant elle, son dard de virilité en face de son visage et empli de désir, crachant sa semence de fertilité sur ses seins dressés de plaisir.

Durant la semaine, en cours, aussi, l'image restait marquée dans son esprit. Le lundi, elle demanda à son amie Sofia :

- Ça t'arrive de rêver de sexe ?
- Hahaha, mais quelle question crue, Charlotte. Cela ne te ressemble pas !
- Oh, ça va. Mais réponds-moi, plutôt que de me narguer.
- Oui, cela m'est déjà arrivé. Ce n'est jamais désagréable même si le retour à la réalité est parfois déprimant. Oh, Johnny Depp, reviens ! Hahaha.
- Mais … et même des choses un peu hard, parfois ?
- Mais dis-donc, Charlotte, tu m'épates ! De qui rêves-tu ainsi ?
- Oh, personne, un fantasme... Viens, on va en cours.

Son meilleur ami, Tristan, avait de même remarqué la distraction quasi-permanente de Charlotte, si bien que le grand lycéen finit par s'en soucier.

- Tout va bien, Charlotte ?
- Oui, bien sûr, Tristan.
- Tu sembles ailleurs...
- Je pense à des choses, c'est tout.
- Tu sais, tu peux tout me dire?
- Mais il n'y a rien à dire. Ne t'inquiète pas.
- D'ailleurs, je pensais … Si ça te dit, vendredi, après ton concert, on pourrait aller au cinéma. Il y a un film d'horreur qui a l'air plus dégoutant que jamais!Toi qui raffole de poupées mort-vivantes...
- Arrête, pas un film d'horreur, tu sais bien que je déteste...
- Je te taquine. Sinon, il y a une comédie avec Johnny Depp.
- Bonne idée, voilà qui me changera justement les idées! 
- Comment cela?
- Oh rien … Je t'adore Tristan.

La chanteuse déposa un baiser sur la joue de son meilleur ami et partit sans s'apercevoir que celui-ci rougit.

- Mais quand vas-tu lui avouer la vérité, Tristan ?
- Ah, Sofia, c'est toi !
- Cela devient malsain, à la fin. Je suis sûr qu'elle serait si heureuse de trouver un garçon qui l'aime.
- J'y compte bien... Je l'ai invitée à aller au cinéma vendredi soir.
- Oh ! Tu m'impressionnes. Elle sait que je ne viens pas ?
- Je crois que oui...
- Alors c'est l'occasion parfaite ! Ne la gâche pas.
- Hé, ne me mets pas trop la pression. C'est déjà assez important ainsi. Mais cette semaine, je la trouve bizarre.
- Peut-être rêve-elle du Prince Charmant?
- J'aimerais bien...
- Vous allez voir quoi ?
- La comédie avec Johnny Depp.
- Oh, la chance.... Johnny Depp, marry-me, please !
- Hahaha, arrête tes bêtises, toi.

La semaine passa vite. Le soir, Charlotte avait du mal à s'endormir, toujours obsédée par cette image humiliante de son dépucelage. Pourtant, sans qu'elle s'en aperçoive, ses doigts glissaient le long de son corps jusqu'à son entre-jambe et caressait ses quelques poils. Parfois même poussaient-il doucement son vagin. Alors, elle gémissait faiblement et s'endormait en pensant à lui.

Vendredi après les cours, Charlotte parvint chez elle et préparait ses affaires pour le concert de ce soir. Son portable sonna. C'était un sms de Tristan.
« Ce soir, je suis de corvée jusqu'à 21h30. Je viens te chercher après ton concert à 22h10 pour la séance de 22h30. »
L'idée de son absence ne lui plut pas beaucoup. Elle aurait préféré ne pas être seule dans ce bar, de peur de revoir le marin. La lycéenne demanda à son amie Sofia.

- Oui, Sofia, c'est Charlotte. Cela te dirait de m'accompagner à mon concert, ce soir ? Comme ça, après on pourrait aller au cinéma avec Tristan.
- Oh, je suis navrée, Charlotte, mais ce soir, je ne peux pas.
- Mais... Pourquoi ? C'est avec Johnny Depp, tu vas adorer ! Je comptais sur toi pour m'accompagner avec Tristan.
- Euh... Eh bien... Je dois... voir quelqu'un, inventa-t-elle.
- Comment ça, quelqu'un ? Un mec ?
- Oui, écoute, je n'ai pas le temps de te raconter. Je dois y aller. Mais allez-y tous les deux, ce n'est pas grave pour moi. Bon concert. A bientôt, ma chérie !

Sofia raccrocha, soulagée de ne pas avoir à prolonger son mensonge, plutôt mauvais. De son côté, Charlotte trouvait sa meilleure plutôt dure de l'abandonner ainsi. Il n'était que cing heures et, seule à la maison, elle décida de réviser ses chants : « Ain't no love in the city » de Al Brown. La musique lui fit oublier ses soucis. Bientôt, elle se ressentait revivre quand soudain, la sonnerie retentit.

- Rrrrrh, râla-t-elle en décrochant l'interphone. Oui ? Il y a quelqu'un ? Allo ?

On sonna de nouveau.

- Mais c'est pas vrai. Même pas capable de répondre !

La jeune fille enrobée descendit ouvrir la porte et aperçut un grand bouquet de fleurs.

- Surprise !
- Qui êtes... ?

L'homme entra, la poussant sur le côté, et referma la porte puis dévoila son visage.

- Mais c'est vous ! Qu'est-ce que vous faites-là ?
- Enfin, mon petit cœur. Du calme. Je venais t'apporter ces magnifiques roses pour te souhaiter bon courage pour ton concert de ce soir.
- Merci, pour les fleurs. Maintenant, allez-vous en.
- Est-ce ainsi que tu traites tes invités ? Tu étais bien plus sage la dernière fois que l'on s'est vu.
- Comment osez-vous ? Sortez, je vous en prie !
- Voyons, tu n'as pas aimé notre petite sortie nocturne ? Tu n'as apprécié que je te tripotes partout ? Tu n'as pas gémi lorsque je léchais ton si beau minou ?
- Laissez-moi, je vous dis...
- Tu n'as pas pris ton pied à la vue de mon pénis en orgasme ? Oh, je suis sûr que tu y as repensé tous les jours et toutes les nuits. - - Tu es une vraie coquine... Tu sais, tu es si mignonne avec ton petit air gêné...
- Arrêtez, je vous en supplie...

Le marin la plaqua contre le mur et l'embrassa. Sa langue dansait dans sa bouche. Il passa ses mains sous la jupe entre ses jambes et malaxa la culotte.

- Alors, tu te souviens à présent ?
- Pourquoi...
- Chut...

L'homme prit la main de Charlotte et la plaça sur sa braguette de sorte qu'elle pouvait sentir un cylindre dur et très chaud. Charlotte fixait le plafond, se refusant de regarder.

- Je sais que cela fait une semaine que tu ne fais que penser à cela. Depuis une semaine, tu t'imagines ça le soir dans ton lit. Une semaine que tu te touches sous ta douche en y pensant. Alors, vas-y, sois toi-même, je te le permets. Fais ce dont tu as envie.
- Non...

Le marin ouvra son pantalon et maintient la main de Charlotte tout près de son pénis sans la faire toucher.

- Je sais que l'envie est irrésistible. Laisse-toi aller et accomplis tes envies. Tu es incapable de les cacher !
- Oh …

Alors Charlotte prit d'une main la bite poilue du marin et le branla en regardant de près le monstre sexuel, fascinée par ses veines, ses poils, sa force, sa virilité.
Hypnotisée, ses doigts fins s'appliquaient à faire des va-et-viens et elle était aux anges de pouvoir toucher un si bel instrument de fertilité.

- C'est si … Puissant …
- Tu le fais si bien, Charlotte. Je sais que tu veux plus, laisse-toi entièrement aller, ma chérie. Sois toi-même. Fais-toi plaisir.

Charlotte ferma les yeux, approcha lentement sa bouche et engloba le gland tout chaud de l'homme. C'était exactement comme elle en rêvait depuis une semaine sans se l'avouer.

- Hummmmm... Tu es une vraie petite pute, tu le fais si bien... Tu as un potentiel incroyable et crois-moi, le capitaine a apporté plein de surprises pour toi, cette fois...


… A SUIVRE !

Par Mr. Nichts - Publié dans : Série - Charlotte, Chanteuse Vierge, et Le Marin - Communauté : Ecritures Très Coquines
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Dimanche 1 décembre 7 01 /12 /Déc 20:36

Ne Répondez Jamais Aux Numéros Inconnus (3)

 

Episode 4 - Genre : hard thriller - Sexualité : pipe, anal, prostitution, soumission

 

J’écris de moins en moins souvent. La vie va très vite et c’est vrai qu’entre la réalité et la virtualité, je privilégie la réartualité.

Bien à vous, Nichts.

 

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20h.

« Je suis le d0cteur » annonce fièrement Marc en entrant dans la chambre. Il se montre nu en montrant fièrement son engin tendu qui me rappelle d’ailleurs étrangement quelque chose.

« Qu’est-ce que ça signifie ?! je crie, outrée.
- Cela signifie que tu es libre. Tu vas enfin pouvoir assumer pleinement la salope que tu es depuis des années.
- Quoi ?! »

Je recule et percute la fenêtre derrière moi.

« Ah, cousine, rien que de te voir comme ça, ça me met dans des états… Depuis qu’on est ados, je me branlais en t’observant dans la salle de bain, en reniflant tes culottes…
- Mon dieu, Marc ! Tais-toi !
- Tout va bien se passer, Sylvie, tente de me rassurer Sofia.
- Ne me touche pas, toi ! lui lance en m’écartant encore sur le côté.
- Sofia, au pied » ordonne Marc.

Automatiquement, Sofia se jette par terre, avance à quatre pattes et se place à genoux, langue en avant, face à son maître.

« C’est bien ma chienne, sourit sadiquement mon cousin.
- Mon dieu, Sofia… murmure-je en silence.
- Sofia est devenue une soumise docile et comblée. Cela a pris du temps et du travail mais elle sait désormais que c’est ce qui la rend heureuse. Certaines personnes sont faites pour être salopes et soumises. »

Sofia colle sa tête contre le pénis de son mari, commençant à lécher timidement ses testicules.

« Doucement, ma chienne… Je veux que vous le fassiez à deux… Sylvie n’est pas encore prête…
- Va te faire foutre, Marc !
- Pourquoi ne voudrais-tu pas me sucer la bite, chère cousine ? Après tout, tu l’as déjà fait et je crois que ça ne t’a pas déplu.
- Hein ?!
- Tu ne te souviens pas ? Voyons, c’était dans un bar nommé… « L’Exquis » si je me souviens bien, dit-il d’un ton écoeurement pervers.
- Non ! Non ! Non ! Non ! »

Je sens une boule monter en moi. Je crois que je vais vomir.

«  Mais si, ma jolie et je t’assure que tu as un talent inouï pour les fellations. Quel dommage de ne pas…
- Tais-toi ! Tais-toi ! Tais-toi ! »

Il s’apprête à parler mais alors que j’aperçois la lampe, je l’attrape et lui lance dessus. Il tombe par terre. Je saute, bouscule Sofia et m’enfuis par la porte dans le couloir. 

« Tu ne peux pas t’enfuir, salope! » l’entends-je à peine hurler.

Les escaliers. Mon coeur bat horriblement vite. J’arrive en bas et attrape mon sac. Je passe la porte d’entrée. Ma voiture. Je rentre. Mes clés. Vite ! Vite ! Oh non, où sont-elles… Non ! Il a dû me les prendre. Mon dieu, il arrive ! Je regarde autour et aperçoit un large buisson. Dans un saut surhumain, je me jette au dessus et tombe à plat ventre de l’autre côté. Je l’entends sortir à ce moment-là.

« Tu ne me pas t’enfuir, Sylvie ! Tu ne peux pas ! Sofia ?
- Oui, d0cteur.
- Mets-toi un putain de manteau et prends la bagnole. Il faut la retrouver impérativement ! Elle ne va pas aller bien loin à pied. Je pars à gauche, tu pars à droite. Bouge-toi ! »

Je l’entends qui rentre dans sa voiture, démarre et disparaît. Quelques secondes plus tard, Sofia fait de même. 

Puis le silence.


20h14

Mon dieu… Je dois partir. Mon cousin est un psychopate, un dérangé sexuel. Je prie pour que tout ceci ne soit qu’un terrible cauchemar. J’aimerais tellement me réveiller dans mon lit… Mais je me suis bien fait mal en sautant dans ce buisson. La douleur me renvoit bien à la réalité et le froid commence à envahir mon corps fragile.

Je décide de couper à travers la forêt. Je dois être à trente minutes en voiture de Paris. Je suis toute nue. Mon dieu, je suis terrifiée…


20h37.

Je parviens au bout du bois et me retrouve devant une longue route traversant un pré. Un camion arrive au loin.

« Hey ! Hey ! Arrêtez-vous, s’il vous plait ! A l’aide ! »

Le camion ralentit et s’arrête devant moi. Je cache mes parties intimes comme je peux. Un homme d’une cinquantaine d’année sort du véhicule. Son tee-shirt trop petit laisse dépasser son bide poilu. Je me retrouve devant la caricature du routier vulgaire.

« Monsieur, aidez-moi… Des gens me cherchent et me veulent du mal...
- Hum, vous êtes toute jolie, ma p’tite dame… Ca vous plait de vous ballader nue comme ça... »

Il est con ou quoi, lui ?

« S’il vous plait, amenez-moi à la police… Je vous en supplie…
- Ma p’tite dame, je veux bien vous amener quelque part mais… Vous êtes toute mignone… Et moi, je me sens seul, quoi…
- Quoi ? Amenez-moi vers Paris, c’est tout ce que je demande ! Quelqu’un de taré me cherche, vous comprenez ? J’ai besoin de m’enfuir de ce trou de merde !
- Doucement, ma p’tite dame… Je comprends bien vot’ problème, ma p’tite dame… J’aimerais vous aider mais… Faudrait une petite recompense pour ça… »

Je le vois qui se gratte le bidon comme un dégueulasse. Sylvie, réfléchis… Marc ou Sofia vont surement bientôt passer ou repasser par là… Il faut vraiment que je parte…

« Que voulez-vous exactement ?
- Juste un petit bisou sur mon z’geg… Comprenez, ça fait longtemps qu’il a pas…
- Oui oui, j’ai compris. Ca va ! Très bien, c’est vendu. Je vous fait ça quand on arrive à Paris.
- Non, maintenant, un petit bisou sur mon z’geg…
- Je dois partir maintenant, vous comprenez ?!
- Montez, on fait le petit bisou tout de suite et on part… »

Je n’ai pas le choix. Il grimpe dans son gros camion et je le suis. Le siège n’est pas très propre. Je contiens mon dégoût de savoir ma peau en contact avec des restes de chocolat. Le routier me regarde avec un sourire jusqu’aux lèvres et me mate comme un gamin qui voit une femme nue pour la première fois.

« Je vous laisse faire votre métier, ma p’tite dame…
- Hé ! Je suis pas une pute, bordel.
- J’attends… »

Je pose ma main sur sa braguette et il ferme les yeux en râlant. Je descend la fermeture, enlève le bouton et sors son petit pénis. Une odeur de transpiration envahit mes narines. Je recule.

« Mais… Ca fait combien de temps que vous ne vous êtes pas lavé ? Je ne ferai pas ça ! Hors de question ! »

Il prend un air mort et son regard change brutalement. Son visage devient plus noir que la mort.

« Sors. »

Je l’implore du regard.

« S’il vous plait, ne me laissez pas… Mon cousin est un malade, il me cherche… Je suis toute nue, s’il vous plait !
- Suce ou sors. »

Il y a soudainement une fatalité dans ses yeux. Je prends peur...
J’inspire profondément et m’approche de l’objet dur. Sa bite est petite, poilue, presque ratatinée. Je commence à le branler.

« Vas-y, suce… »

Je ferme les yeux et englobe le petit gland. Je fais tourner ma langue autour et aspire avec mes levres. Le gout est excécrable. Comment en suis-je arriver là ? Son gland est tout chaud. Je l’entends soupirer.

« Mmmmmh… »

Sa main gauche me caresse mes cheveux. Je m’applique. Le plus vite il jouit le plus vite ce sera fini. Sa main droite, elle, se dirige dans le bas de mon dos et caresse mes fesses. Un de ses doigts s’approche de mon petit trou.

« Dis donc, ma p’tite dame, vous êtes toute ouverte du cul, vous ! J’ai toujours rêvé d’explorer une jolie fille par là… »

Il enfonce un doigt plutôt facilement. Je m’apprête à protester mais je le sens qu’il s’apprète à jouir.

« Oh… Oh… Oh, c’est bon, ça… »

Je suce de plus en plus vite. Je tâte ses couilles poilues qui me semblent particulièrement pendantes. Il continue à me doigter entre les fesses. Je le sens, il va venir. 

D’un coup, il attrape ma tête.

« Oooooh ! Ouiiiii ! »

Un jet de foutre gluant envahit ma bouche. Je grimace. J’aimerais me retirer mais il me tient toujours la tête. Un second puis un troisième tire. J’avale difficilement. Mais je me surprends à aimer le goût de son sperme, plutôt sucré.

Il me libère la tête en soupirant. Je me relève pour l’apercevoir se lécher son doigt qui me pénétrait l’anus peu avant.

« Mmmmh, c’était trop bon, ma p’tite dame. Vous sucez comme une déesse ! J’me sens tout heureux. »

Je me nettoie la bouche comme je peux mais je reste encore surprise du gout savoureux de son liquide. Il est con comme un pied, mais au moins, il est précoce et gicle du bon jus.

« J’ai froid, vous n’auriez pas une couverture ?
- Bien sûr, ma p’tite dame. Prenez ça.
- Merci, ça ira. On peut y aller maintenant ? Franchement, je crois avoir fait ma partie correctement.
- Ca, c’est sûr ! J’vous promets, ma p’tite dame, jamais on ne m’a sucé aussi bien. Vous devriez vraiment devenir une vraie pute et vous vous feriez des millions. »

Connard.

« Oui, démarrez, s’il vous plaît, au lieu de dire des bêtises. Je vous rappelle qu’on est toujours à mes trousses.
- Vous inquiétez pas, Charlie est là pour vous sauver. Je vous amène où vous voulez et personne, j’dis bien, personne, ma p’tite dame, touchera votre corps de princesse. »

Je souris. Il est tout moche mais plutôt imposant. Ca me rassure un petit peu. 

Maintenant, où devrais-je aller ? Mon cousin va sûrement m’attendre chez moi avec un sac à me mettre sur la tête et un couteau de l’autre. Réfléchis, Sylvie, réfléchis… J’ai trouvé !

Même si je n’aurais jamais osé en d’autres circonstances, il n’y a qu’une personne à qui je puisse vraiment faire confiance.


« En route ! »



TO BE CONTINUED!

Par Mr. Nichts - Publié dans : Série - Ne Répondez Jamais Aux Numéros Inconnus - Communauté : Ecritures Très Coquines
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Samedi 27 juillet 6 27 /07 /Juil 18:00

Humour Rose, Ca fait toujours du Bien

 

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Si ta fille te demande pourquoi elle doit faire des études...

... montre lui cette photo.

 

Si ton fils te demande pourquoi il doit faire des études...

... montre lui aussi cette photo.

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Le Livre Rose de Mr. Nichts

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