Ecrivez un commentaire pour me faire plaisir! - Découvre les commentaires XX...
L'Eternelle Petite Fille (1)
Episode 1 - Genre : Erotique Psychologique - Sexualité : découverte, vierge, travesti, anal
"Dans la vie, il n'y a pas que le cul, il y a aussi la bite et les couilles." Coluche.
Bien à vous,
Nichts.
En 1989, une petite fille nait dans le Clinton in Michigan, dans le nord-est américain. Toutefois, cette petite fille a une particularité que ses parents encore ne peuvent vraiment comprendre : alors qu’elle crie victoire en sortant du ventre de sa mère, elle présente entre ses deux jambes frêles un petit pénis.
Son corps grandit et la petite fille regarde les princesses en dessin animé à la télévision. Elle tente d’imaginer son propre prince charmant. Alors elle regarde en direction du jardin et elle espère apercevoir le buisson s’écarter pour qu’apparaisse son prince tant attendu. Toutefois, son grand frère vient souvent changer de chaîne pour mettre les super-héros. Mais elle n’aime pas les super-héros, elle veut voir les princesses.
Sa taille grandit et ses parents décidèrent de l’éduquer en enfant propre qui fait seul dans les toilettes. La petite fille s’assit pour faire pipi. Mais on la reprend et on lui dit que les garçons doivent faire debout. Elle se demande pourquoi.
Peu de temps après, ses parents lui demandent de dire au revoir à la maison car on va prendre la voiture pour revenir dans très longtemps, si longtemps qu’elle ne s’en souviendra peut-être pas. La petite fille dit adieu à son jardin. Comment le prince charmant la trouvera-t-elle si elle n’est plus là ?
Ses cheveux grandissent. Ils sont roux éclatant et raides. La famille vit maintenant à Atlanta. A l’école, la petite fille n’aime plus son prénom et ça l’énerve de devoir l’écrire à chaque début de contrôle. Dans sa classe, il y a Steven qu’elle aime beaucoup. Il y a de beaux yeux bleus et il est très drôle. C’est son meilleur ami… et aussi son amoureux, mais chut, c’est un secret.
Son torse grandit et la petite fille est jalouse de ses camarades de classe à qui la poitrine devient arrondie alors que la sienne demeure plate. Elle est toujours dans la classe de Steven. Il lui parle de de fille. Elle passe devant les vitrines de robe. Elle aimerait tellement en choisir une.
Ses jambes grandissent et elle passe souvent chez Steven. Il lui montre des vidéos de femmes qui sucent des pénis en érection sur son ordinateur. Tous les deux, ils se masturbent en regardant et à chaque fois que Steven jouit, la petite fille sent une terrible excitation monter en elle. Elle remarque que Steven a beaucoup de poils sur son corps alors qu’elle en a que quelques-uns qu dessus de son sexe. Une fois, elle prend l’essuie-tout et lui nettoie la bite lentement. Il la regarde et ne dit mot dans une expression indescriptible. Elle frémit. Elle a envie de faire comme les filles dans les vidéos.
Un jour de grand soleil, la petite fille prend son courage à deux mains et s’approche de Steven. Elle lui avoue qu’elle est une fille, qu’elle est né dans le mauvais corps. Steven la regarde d’un air terriblement sévère.
« Ne redis plus jamais ça ! Ne redis plus jamais ça à personne et n’y pense même plus ! »
La petite fille s’enfuie en pleurs. Steven aura toujours ses beaux yeux bleus mais ne lui adressera plus jamais la parole.
Son sexe grossit et elle se masturbe tous les jours en éjaculant dans sa main. La première fois dans la journée en se réveillant dans son lit, la seconde fois dans la douche et la troisième fois le soir, en regardant des sites pour adultes. Elle se caresse toujours les testicules en même temps mais elle demeure frustrée. Il manque quelque chose. Sa main descend peu à peu et découvre un petit trou. Elle se caresse et voit que son sexe grossit plus encore. Elle est allongée sur le dos. Elle tend ses jambes en l’air pour bien écarter son petit cul ferme. Elle continue de caresser son petit trou qui mouille. Petit à petit, elle parvient à rentrer le bout de son doigt. La sensation est indescriptible. La petite fille a l’impression de décoller du sol. Elle ne peut pas s’arrêter. Elle parvient à enfoncer son doigt en entier mais soudain, son pénis lâche une décharge de sperme qui vient se déposer sur son visage.
Elle rouvre lentement les yeux après un tel choc de plaisir.
C’est une première libération pour l’éternelle petite fille.
A SUIVRE...
(Aller sur le site de Domino Presley : http://www.ts-dominopresley.com/tour/?direct=1)
Ne Répondez Jamais Aux Numéros Inconnus (3)
Episode 3 - Genre : hard thriller - Sexualité : lesbian, anal, voyeur, cam, soumission
Saviez-vous que la
bouche est aussi propre que la partie anale? Pensez-y la prochaine que vous embrassez quelqu’un: vous n’êtes pas si loin de le faire.
Bien à vous,
Nichts.
19h12.
« Répète-moi ça, Sofia?
- J’ai reçu leurs instructions par SMS… Ils veulent qu’on se filme à la webcam… toutes les deux…
maintenant… »
Je répète ses mots soigneusement dans ma tête comme une énigme à résoudre. Premièrement, je découvrais que j’avais de nouveau
une épreuve perverse à affronter et qui s’annonçait des pires. Deuxièmement, je n’étais pas la seule sur cette Terre à être victime de ces dégueulasses au téléphone. Enfin, cette autre victime
était la femme de mon cousin!
« Qu’as-tu reçu exactement comme message? »
Sofia sort son téléphone, tape sur quelques touches et me tend l’appareil. Je lis:
‘Petite salope, à 19:20, allume ta cam avec Sylvie et montre nous vos beaux petits culs, toutes les deux en sous vêtements.
Prépare le gode. Ne sois pas en retard, bonne soumise, sinon…’
« Sinon quoi? »
Sofia tourne au rouge, honteuse. Je suis bête. Il l’avait sûrement piégée comme moi avec des vidéos
humiliantes.
Ce qui m’étonnait dans ce message, c’était la violence des mots: ‘petite salope’, ‘beaux petits culs’, ‘bonne soumise’… Très
différent de l’intonation neutre qu’ils utilisent avec moi.
‘Bonne soumise’. Les rares fois où j’ai tenté de me rebeller ont mené à bien pire… Je prends une respiration profonde comme à
chaque fois avant de me résoudre à me soumettre au pire.
« Allons-y. Ne soyons pas en retard.
- Tu es d’accord…? »
Sofia tremblait.
« Nous n’avons pas le choix, Sofia. Il faut faire ce qu’ils disent. Mais au moins, cette fois, nous serons
deux.
- Oui… »
La belle brune sourit vainement. Nous montons les escaliers et elle me laisse entrer dans sa chambre où l’ordinateur est déjà
préparé en face du lit.
Je la regarde dans les yeux. Puis, sans dire mot, j’enlève mon haut et retire mes chaussures. Elle fait de même, me laissant
la vue à ses superbes seins. Je crois bien qu’elle porte du C. Face à ces deux merveilles, je souris. J’avoue qu’ils sont très beaux. Nous nous retrouvons toutes les deux en culottes et
soutien-gorges.
« Tu es prête, Sofia?
- Oui… Tu leurs as déjà fait des webcam?
- Non… et toi?
- Oui…
- Je suis désolée.
- Ce n’était pas si terrible… J’avais surtout peur que tu sois réticente et que tu refuses de
coopérer. »
‘Coopérer’? Voilà une formule bien étrange…
« Je le fais parce qu’ils nous tiennent au cou. C’est la seule raison.
- Tu verras… On finit par s’habituer à tout ça et on découvre de nouvelles choses… C’est une autre
vie. »
Qu’essaye-t-elle de me dire…? On dirait presque qu’elle en sourit.
« Je vais mettre la webcam sur un logiciel de chat et on écoutera leurs ordres… Ils nous verront tout de suite... Mais
on ne les verra pas. En général, ils parlent peu à la webcam et se content de…
- De mater. J’avais compris, Sofia. Fais-le. C’est l’heure. »
19h20.
« Bonsoir mes jolies. Ravies que vous ayez fait connaissance de vos vies de soumises. Sofia, comme tu es une sacrée
petite pute, il me semble que tu as acheté quelque chose récemment?
- Oui, d0cteur…
- Montre-le. »
‘D0cteur’, c’est ainsi qu’elle le ou les nomme. Drôle de nom pour un maître chanteur.
Sofia se penche sous le lit et en ressort une boite. En l’ouvrant, elle dévoile un gode rose d’une quarantaine de centimètres
doté d’un gland à chaque extrémité. Mes yeux s’écarquillent. Sofia rougit.
« Parfait! Cela va vous allez à merveille. Vous allez performer un ‘ass-to-ass’, c’est-a-dire mettre le gode dans vos
deux petites roses et l’enfoncer jusqu’à ce que vos deux bons culs se touchent. Allez-y, faites ce qu’il faut pour qu’on se régale! »
L’air normal, elle prend un tube de lubrifiant et monte sur le lit en tendant ses jolies fesses. Je ne bouge pas. Elle me
demande:
« Tu n’as jamais fait du anal? »
C’est ce que le ‘docteur’ exprimait par ‘petites roses’… Pour moi, ça avait toujours été un truc… sale.
« Non…
- Ne t’inquiète pas. Je vais m’occuper de toi. Ca ne fait pas mal si on le fait bien… au contraire! Allonge-toi sur le
ventre. »
Je m’exécute en essayant de lui faire confiance. Elle retire ma culotte. Dans ma tête, je me répète pourquoi, ô pourquoi, je
suis obligée de faire ça… Elle embrasse mon derrière.
« Tu as de belles fesses, Sylvie.
- Merci… »
Elle prend de la crème lubrifiante et me l’étale sur les fesses.
« Ouh, c’est froid…
- Oui, relaxe-toi… »
Sofia me masse les fesses et les dos.
« Tu masses bien…
- Il faut que tu sois toujours détendue. C’est important. Tu aimes quand je te touche là? »
Je sens sa main passer en haut de ma raie.
« Ça me gène…
- Chut… »
Elle recommence. C’est vrai que cela déclenche des petits frissons pas désagréables. Elle remet de nouveau de la crème et
recommence le traitement en descendant plus bas jusqu’à titiller mon petit trou.
« Sofia…
- Chuuut. »
Son doigt tourne autour puis appuie un peu dessus. Je respire fort.
« Sofia, je ne peux pas. Je suis désolée…
- Fais-moi confiance. Il faut juste que tu détendes, d’accord? »
Se détendre, se détendre… Facile à dire! Je n’ai pas de bouton on/off pour commander mon stress! Elle s’approche de mon
visage et, contre toute attente, m’embrasse langoureusement. Je sens sa poitrine s’appuyer contre la mienne. C’est la première fois que j’embrasse un femme et … j’avoue que ça m’excite un peu.
Puis, presque déçue, je sens sa langue qui se retire.
« Tu me fais confiance, Sylvie?
- Oui… »
Elle reprend le massage de mes fesses mais s’aventure aussi vers mon sexe et j’admets être cette fois bien plus relaxée.
Puis, elle s’arrête et change de position. Je me demande ce qu’elle fait. Soudain, je sens une langue humide titiller le bout de mon anus.
La sensation est indescriptible. Je cambre mon dos mais elle s’enfonce plus.
« Sofia… »
Sa langue continue de tourner sur mon petit trou, s’introduisant à petits coups et humidifiant pour de bon
l’intérieur.
« C’est si... sensible… »
Cette fois, sa langue pénètre plus en profondeur écartant légèrement mes parois muqueuses. Je surprend ma main se faufiler
entre mes jambes afin de caresser mon sexe. Ca me fait du bien…
« Sylvie, tu vois que aimes, chuchote Sofia.
- Non, ne t’arrête pas… »
Je suis complètement perdue et je veux profiter de sa langue… Pourtant, je sens quelque chose de plus dur.
« Je vais mettre un doigt, d’accord? »
Ma respiration s’accélère. Je panique!
« Détends-toi, je vais le faire tout doucement avec beaucoup de lubrifiant… »
Je la laisse me tripoter l’anus. Bon… Je reconnais qu’elle se débrouille vraiment bien. Elle parvient à rentrer un doigt et
moi, je ferme les yeux. J’en profite pour me m’exciter les seins qui durcissent. Sofia continue ainsi un petit moment puis très lentement enfonce un second doigt.
« Sofia, comment fais-tu… Ah...
- C’est parce que j’aime tes petites fesses de rousse, Sylvie! »
La brune me dépose des petits baisers sur mes deux collines de chair tandis que je sens un troisième doigt ma
pénétrer.
« Tu mouilles beaucoup pour une fille qui n’aime pas ça… »
Je rougis. J’ai honte!
« Ne te moque pas… Hein… C’est différent de ce que je croyais… »
Je ne comprends pas… Comment a-t-elle réussi à me décoincer aussi facilement?
« Sofia, viens… Je veux t’embrasser… Je veux te sentir contre moi...»
Je lui dépose un baiser des plus attentionnés. Nous nous enlaçons. Je lui lèche le cou. Elle me prend les cheveux. Ce soir,
j’ai envie de tout oublier et de me libérer.
« Sofia, je veux te faire pareil...
- Chut, mon cœur, je peux le faire seule. »
La belle aux cheveux lisses me caresse les cheveux. J’embrasse ses seins. Je veux plus d’elle.
« Non, je veux me sentir en toi… »
Je me retourne de sorte à avoir la tête face a ses belles fesses. J’entreprends de les lécher allègrement. Puis, partant du
haut de sa raie, je donne comme elle m’avait fait des petits coups de langue en descendant de plus en plus bas. Je parviens à son petit trou et je continue ainsi, toutefois en léchant de plus en
plus allègrement.
« Sylvie, ouh… Tu t’y prends bien… »
Je parviens à rentrer un peu ma langue. Le goût est très différent de ce que j’imaginais et pas si désagréable. Sofia
m’encourage à continuer. Alors je plonge un doigt en découvrant le plaisir de la sensation intérieure, puis après un bon moment, un second, et finalement un troisième. Pendant ce temps-là, elle
se touche les seins, se les pince, mord l’oreiller, se caresse la chatte…
« Mets-le moi, Sylvie, mets-le moi…!
- Tu es sûre?
- Oui, fais-le! Je le veux! »
Je prends le gode et le recouvre de lubrifiant. Lentement, je l’enfonce dans le cul de la femme de mon
cousin.
« Aaaaaaaaaaah, oui! »
En faisant de lent va-et-viens, l’envie me prend d’essayer aussi.
« Sylvie, viens, mets-toi à quatre pattes derrière moi. Tu vas adorer, ma belle rousse… »
Alors je suis ses conseils et je sens même que je mouille. Je positionne l’autre bout du gode dans l’axe de mon anus et
j’appuie lentement. Plus gros que les doigts de Sylvie, l’objet pénètre en moi comme une libération… Une sensation indescriptible… Comme si je découvrais une partie de plaisir en moi que je
n’avais jamais insoupçonnée avant…
« Ooooh!
- Tu aimes ?
- Oui, c’est si étrange…
- Bouge tes fesses comme moi… Faisons-le ensemble… »
Tout d’abord, nous bougeons nos petits culs afin que le gode travaille une belle entrée. Puis, on s’enfonce et recule sur le
gode. La sensation est intense !
« Sofia…
- Oui, Sylvie! Continue! »
Je suis dans un autre monde. Les spasmes traversent et transcendent mon corps. Le gode s’enfonce dans mon ventre et en
ressort. Je ne peux m’empêcher d’imaginer que c’est le dard de mon patron, qu’il est avec nous deux, nu et montrant sa virilité. Les fantasmes dépassent la réalité. La réalité succombe au
plaisir.
« Ass-to-ass! Magnifique! » s’écrit le ‘d0cteur’.
J’ai complètement oublié les pervers de l’autre côté de l’écran. Quelque part, savoir qu’on me regarde faire ça… Dans une
position indécente avec une femme… Je ne sais pas mais ça me donne une envie …
« Bouge plus vite, Sylvie…
- Oui… »
Nos fesses se claquent l’une contre l’autre. Ma mouille dégouline le long de mes jambes et se mélangent à celle de Sofia à
l’encontre de nos deux entrées dilatés. Je me remets à me masturber allègrement. Je sens quelque chose monter en moi…
« Sofia, je crois que je vais … ! Sofia … !
- Oui ! Laisse-toi aller, Sylvie! Oui! »
Quelque chose va exploser en moi… Je le sens! Je ne reconnais rien, tout est trouble!
« Sofia… Aide-moi! Je…
- Oui, Sylvie, lâche-toi!
- Aaaaaaaaaaaaaah ! »
Je m’écroule. Je crois que je ferme les yeux. Je ne sens rien et tout à la fois. J’ai l’impression d’être dans un bain d’eau
chaude, à une parfaite température. J’ai envie de me sentir ainsi pour l’éternité.
Puis, une main que je connais bien passe doucement sur mon dos.
« Sylvie, comment vas-tu?
- Oh, Sofia, tellement bien… Tu m’as offert mon plus orgasme. »
Toutes transpirantes, nous nous embrassons allègrement.
« Tu es tellement belle, Sylvie. Ta chevelure rousse est magnifique. Et je parle aussi de cette rousseur
ici… »
La brune me caresse mon sexe, mouillé comme jamais. Je suppose que, même silencieux, le d0Cteur doit bien profité de ce
moment.
« Coquine! Je n’aurais jamais qu’une femme me ferait plus plaisir qu’un homme… Tu m’as tellement
surprise.
- Tu sais, c’est parfois difficile de connaître nos véritables désirs et nos plaisirs. On a parfois besoin d’être… un
peu poussée...»
Je tourne la tête, morte de honte. Est-ce vraiment moi?
« Hé, je ne voulais pas que tu me fasses ma tête. »
Sofia, la sublime Sofia, saisit mon menton de sorte à ce que je la regarde yeux verts dans les yeux noirs. Ses longs cheveux
lisses, plus noirs que la nuit, tombent le long de ses épaules, cachant légèrement son abondante poitrine aux bouts foncés.
« Je ne te ferai jamais la tête… Ce soir, je t’ai découverte, Sofia… Je t’ai trouvée comme jamais je ne l’aurais
crue… Tu m’as toujours fait rire lorsque nous étions ensemble. Tu m’as toujours appelé de temps à autre pour prendre de mes nouvelles. Tu étais presque ma meilleure amie. Nous avons franchi un
grand pas. »
La belle brune du coin de ses lèvres rouges.
« Mais… Tu es la femme de mon cousin… Et il y a eux…, lui fais-remarquer en montrant discrètement l’écran par lequel le
d0cteur et les pervers continuent sûrement de nous épier, en silence, profitant au sommet de leur plaisir voyeur.
- Ni moi, ni eux ne seront un problème! »
Mes yeux m’écarquillent! Cette voix… Ça ne peut pas… J’entends des mains applaudir en s’approchant de la
pièce.
« Quel magnifique spectacle: ma cousine se sodomisant avec ma femme! Je ne suis pas déçu de la mise en
scène.
- Toi! Non! Non!
- Oh si! Cela a pris du temps à mettre en place mais ô combien ce travail valait la peine. Ma cousine est une vraie salope,
bien au-delà de touts mes espérances.
- Non, pas toi…
- Et pourtant, si! Je suis le d0cteur. »
20h00. Marc pénètre la chambre.
TO BE CONTINUED…!
Charlotte, Chanteuse Vierge, Et Le Marin (2)
Episode 2 - Genre : Porno trash - Sexualité : soumission, dépucelage, teen, enrobée
L'égalité est une utopie psychologique.
Nous avons tous un caractère dominant et des envies de soumission.
Il suffit de jouer avec.
Bien à vous, Nichts.
Charlotte, allongée dans la voiture et
bloquée par l'inconnu, se trouvait totalement désemparée par la bien physique et le mal moral que lui procuraient les pratiques sexuelles du capitaine de mer qu'elle venait de
rencontrer.
- Mais ça te plaît vraiment, hein, le
cunni ? Avoue-le ...
Charlotte restait sans mot les yeux
fermes.
- Avoue-le, Charlotte
...
- Oui ...
La gamine enrobée ne pouvait plus nier
une telle évidence et cela encore amplifiait sa honte.
- Oui! Embrasse-moi ... P'tite coquine
!
De nouveau, leurs langues
s'échangèrent langoureusement. Charlotte sentit parmi la salive du roux encore un peu de son liquide vaginal et se rappela que ses amies traitaient habituellement de "salope" un tel comportement.
" Que suis-je en train de faire ?! " rougissait-elle de honte!
- Oui, je savais que toi, Charlotte,
tu étais une vraie cochonne ... Montre-moi tes nichons ...
Il tira sur son décolleté et ses seins
de chair emplis comme des ballons sortirent d'eux même. Ils exhibaient une peau mate unie et, au bout, une pointe rouge et très pointue entourée d'un cercle rose. Ils étaient vraiment
gros.
- Je sens que tes jouets vont me
plaire, Charlotte !
Le vieux pervers commença par pincer
le bout des seins en les tripotant violemment, alternant entre tirer et appuyer. Charlotte gémissait plus distinctement.
- Ouh ... ! Ah... ! Doucement ... ! Ah
... J'ai mal ... !
En effet, le marin n'y allait pas de
main morte et prenait grand plaisir a mastiquer ainsi sa grosse poitrine. Il attrapa maintenant ses seins en entier et les tenait fermement dans ses mains et les massant, les serrant
fort.
- Il est temps de faire de toi une
vraie cochonne ...
- Ah .. Ouh ... ! Doucement ...
!
Le roux passa une main en bas et
enfonça entièrement un doigt jusqu'au bout dans le sexe de Charlotte, lentement mais profondément.
- Aaaaaaaaah ... !!!
- Oh oui, t'aimes ça
...
Puis le capitaine commença a la
doigter efficacement. La chanteuse se mordait les lèvres. Le plaisir la dépassait complètement.
- T'aimes ça, hein
...
- Oh... Oh ! Ah ... ! S'il vous plaît
...
Charlotte se trouvait sonnée par les
montées constantes de plaisir. La peur laissait peu a peu place a un état de bien-être incompréhensible.
- Oui, dis-moi, Charlotte
?
- S'il vous plaît ... Que ... Que
m'arrive-t-il ?
- Il t'arrive que tu te sens
extrêmement bien parce que tu n'as jamais eu droit a une bonne masturbation comme celle-ci ! Hein, ma grosse cochonne ... ?
- Non ... Oh ... ! Hen ...
!
Charlotte ne pouvait se résigner a une
idée si dégradante. Pourtant, c'était vrai : elle vivait l'histoire de sexe qu'elle avait toujours vivre (peut-être manquait-il beaucoup de romantisme !) et elle se sentait fatalement bien dans
son corps boudine. Son complexe avait totalement était chasse par les bouffées de plaisir que lui procurait l'inconnu.
- Alors ... Je continue, dis-moi
?
Charlotte attendit un peu puis
répondit tout bas, les larmes aux yeux emplis de honte :
- Oui ...
- Eh oui, t'aimes ça, te faire branler
comme une garce !
Soudain, il ressortit sa main toute
humide et la mit devant la bouche de la fille.
- Regarde comme tu mouilles. C'est ton
liquide vaginal, ça ... Tu mouilles comme une vraie salope, ça, oui ! Goûte ton sperme de femelle en chaleur, ma jolie !
- Non...
Pour le coup, Charlotte
en
- Mais si, c'est que font les putes
comme toi !
Et il enfonça sa main dans la bouche
de la dépravée qui suça son propre liquide.
- C'est bien ... T'es une bonne fille,
toi. Tu me plais ... T'es grosse, pucelle et belle ! Tu as tout d'une bonne lope. Je vais t'apprendre un truc super. Tu vas voir !
L'inconnu prit la main de Charlotte et
la plaça entre ses petites jambes. La gamine sentit quelque chose de très gros et de dur.
- C'est l'effet que tu me fais, ça,
avec tes gros seins et ta belle chatte. Maintenant, je veux que tu me montres tes talents de suceuse ... Car toute vraie salope doit savoir bien faire des pipes, tu vois !
A ces mots, le roux descendit sa
braguette et donna une claque a Charlotte pour qu'elle ouvre ses yeux.
- Ah !
La violée aperçut alors un imposant
pénis supporte par deux énormes testicules. Le sexe était très poilu et émanait une forte odeur de transpiration mais aussi d'autres choses plus sales... Le gland rose était recouvert d'une fine
pellicule jaunâtre et peut-être de petites boules pâteuses blanches. "Depuis combien ne s'est-il pas lave ?!" se demanda Charlotte, terrifiée.
- Mets-le dans ta
bouche.
- Je ne peux pas ...
- Mais si, mon amour.
La jeune chanteuse reculait la tête au
maximum.
- Non ...
Le vieux attrapa la tète de la fille
et enfonça entre les lèvres rouges sa lourde bite en érection. Le goût dans la bouche s'avérait immonde.
- Toutes les salopes font ça. Tu dois
apprendre a te soumettre. Maintenant, lèche bien avec ta langue. Tu dois racler tous les recoins pour qu'elle soit toute propre a la fin. Allez, mon ange, ne me déçois pas... pas
maintenant.
La peur se réveille de nouveau sous
les menaces du vieux et l'instinct de survie de la lycéenne la guida a sucer du mieux qu'elle pouvait. Le goût écoeurant du vieux sperme et de la pisse conservée sur le gland tout chaud la
poussait presque a vomir.
- Applique-toi, une salope digne de
toi doit faire mieux que cela !
Et, la tenant par les cheveux, il la
força a s'enfoncer tout au bout de sa bite jusqu'aux testicules. Des poils et même quelques boutons rentrait dans la bouche de Charlotte. Puis, elle se laissa guida et enroula de mieux en mieux
la bite du marin, un immense goût puant remplissant sa bouche.
- Oui, c'est mieux... Continue, ma
grosse ...
Charlotte était contente de le
satisfaire et se dit que peut-être cela le calmera.
- T'as le droit a une récompense
...
Soudain, le demi-chauve enfonça son
doigt dans le vagin de Charlotte et reprit de la doigter sauvagement.
- Hummmm... !
Même si elle en avait plein la bouche,
la vierge ne pouvait retenir d'exprimer son plaisir. Le gros doigt s'engonçait toujours un peu dans son vagin et l'exciter au plus profond d'elle. La frénésie hormonale força la chanteuse brune a
sucer le marin plus torridement, plus machinalement
- Oh oui, t'es une vraie pute soumise,
Charlotte ...
Disait-il vrai ? La jeune fille
enrobée ne désirait pas y penser mais se laisser dominer par ses instincts de femelle en chaleur. C'était tellement plus facile de se soumettre, tellement soulageant ... Charlotte, au fond,
n'arrivait à regretter.
- Attends un peu ... Tu vas me faire
venir, sinon ... Maintenant, tu es prête pour être dompter comme tu le mérites.
Il retira sa bite de la bouche de la
fille, retourna celle-ci sur le ventre de sorte a bien voir ses grosses fesses et approcha son pénis de son vagin dégoulinant. Ainsi, le marin apercevait de même son bel anus, tout petit rose
avec quelques poils noirs sur les bords.
Le violeur cola son pénis bandant au
bords du sexe vierge même sans enfoncer.
- Alors, Charlotte, c'est comme tu
veux ... Tu la veux, oui... ? Tu as juste a dire "oui" ...?
Charlotte dégoulinait de partout. La
lycéenne se trouvait totalement excitée.
- Alors ... Je continue
?
Les manipulations de l'inconnu l'avait
entièrement retournée et transformée en femelle assoiffée de sexe. Incapable de renier sa nature, la chanteuse chuchota :
- Oui ...
- Tu viens d'avouer que tu n'es qu'une
vieille chienne soumise.
Et il s'enfonça dans elle, son gland
dégoûtant pénétrant en longueur le corps surexcite de la brunette, la dépucelant dans un cri magnifique :
- Aaaaaaah ouiiiiiiiiiii
!
L'homme commença alors a baiser la
fille, lui attrapant méchamment les seins.
- Tu n'es qu'une salope soumise, tu
m'entends ... ? Tu n'es bonne qu'a prendre des bites dans le cul ... Et moi, je suis le capitaine ... Dis-le. "Je suis une grosse salope."
- Hen ... Hen .. Hen
!
- Dis-le !
Et il donna une fessée claquant sur
ses fesses, provoquant chez la dépucelée un mini-orgasme aigu.
- Ahhhh !
- Dis-le !
- Hen ! Hen ! Je suis ... Hen ! Une
grosse... Salope ... Hen ! Hen !
Le quarantenaire procédait des
va-et-vient de plus en plus violents dans la bouche de la fille et lui tapait le fond de l'utérus.
- Ah, c'est bien ! Dis-moi "Vous êtes
mon capitaine"
Encore une fois, Charlotte ne voyait
plus d'alternative et voyait dans la soumission la seule issue possible ... Peut-être méritait-elle tout cela ? Peut-être était-elle destinée à se donner à ce "capitaine" autoritaire ? Les ondes
de plaisir qui la parcouraient l'obligeaient à répondre :
- Vous ... Hen ! êtes mon ... Hen !
Capitaine... Hen !
- Maintenant (et il continuait à la
niquer sauvagement), tu répondras toujours par "oui, mon capitaine".... Ho ! ... Compris ?
- Hen ! Hen ! Hen ! Oui ... Hen
!
- Oui qui ?
- Hen ! Hen ! Oui ! Hen ! Oui, mon
capitaine ! Hen ! Hen !
- Alors dis-moi qui aime se faire
baiser comme une grosse salope par son capitaine ?
- Hen ! Hen ! Hen !
- Qui c'est, ma grosse salope
?
- Hen ! C'est moi ... Hen ! Mon
capitaine ... Hen ! Hen !
Il n'existait pas de mot pour exprimer
l'harmonie de honte et de bien-être que ressentait à ce moment précis Charlotte. Cet instant résonnait en elle comme une véritable révélation.
(A suivre ... !)