Samedi 6 juillet 6 06 /07 /Juil 18:30

Charlotte, Chanteuse Vierge, Et Le Marin (1)

 

Episode 1 - Genre : Porno trash - Sexualité : Teen, enrobée, dépucelage, initiation

 

" Et là, elle me dit qu'elle est vierge.

- Alors qu'est-ce que t'as fait ?

- Qu'est-ce que j'ai fait ? Mais je me suis barré en courant, tiens ! "

 

Bien à vous, Nichts.

 

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Charlotte s'approchait du micro, et, comme tous les jeudis soirs, commençait par la chanson "Misty" de Ella Fitzgerald. Depuis sept mois maintenant, elle se rendait au Jazzbar du Port du Havre pour faire partager sa voix pure, douce mais teintée de blues aux quelques passants venus s'accorder un verre alcoolisé après une dure journée de travail. Ce premier boulot régulier pour cette jeune brunette aux longs cheveux ondulés de 18 ans n'était pas très bien rémunéré mais représentait au moins une première passerelle pour atteindre son rêve : devenir chanteuse renommée de jazz. 

La chanteuse a la peau mate, ainsi vêtue d'une courte jupe et d'un beau décolleté sur sa large poitrine, se montrait aussi élégante que charmante. Mais la lycéenne avait un défaut marqué qui consistait tout son complexe : Charlotte était plutôt ronde. Ses formes s'affirmaient parfaitement féminines car ses kilos en excès se répartissaient harmonieusement le long de son jeune corps, le tout exalte par sa superbe longue chevelure noire. De même, Charlotte exhibait de très abondantes fesses qui relevait prudemment sa jupe, un certain ventre courbe et enfin une poitrine plongeante exceptionnellement volumineuse. Ces quelques particularités avait suffi a Charlotte a écarter les garçons, encore fermes d'esprit par leur jeune âge, qui l'intéressaient et, a son grand désespoir, la jolie ronde demeurait l'unique de son cercle d'amies a être vierge. Ses seules expériences avec l'autre genre se résumaient a un collégien rencontre en vacances avec qui elle n'échangea que des baisers innocents, un garçon saoul aux mains baladeuses qu'elle avait furtivement embrasse en discothèque et de nombreuses, nombreuses déceptions amoureuses. De ses échecs affectifs, Charlotte s'était consolée dans sa passion musicale au-quelle elle s'offrait corps et âmes et se résignait a rester pucelle maudite, peut-être éternellement. Elle s'était certes touchée une ou deux fois sous la douche mais n'en avait retenue aucun plaisir, se demandant comment certaines de ses copines parvenaient de la sorte a se satisfaire sexuellement. Bien sur, elle s'était aussi accorde de quelques films a regarder sur des sites internet peu catholiques qui avait réveille chez elle des impressions très étranges entre attraction et dégoût, sensations qu'elle interpréta comme inquiétantes et qu'elle chassa définitivement de sa personne.

Après les dernières notes de Ella Fitzgerald, Charlotte entama "Temptation" de Diana Krall. D'un rythme plus joyeux, elle en profitait pour dandiner ses jolies fesses et parfois bouger son buste, faisant sautiller ainsi sa forte poitrine. C'est alors qu'elle remarque un homme d'une quarantaine d'années au fond de la salle : plutôt petit doté d'une chemise a carreaux mal boutonnées et d'un bidon. Sa petite barbe rousse sympathique avait de quoi le rendre mignon mais son crâne n'habitant plus que trois ou quatre longs cheveux et son regard toujours égare entre alcool et désespoir effaçaient la moindre trace d'esthétique. Toutefois, Charlotte avait note sa présence invariable a chacune de ses prestations mais aussi l'attention totale que celui-ci lui portait lorsqu'elle s'exaltait de sa voix. Finalement, la lycéenne clôturait la soirée par une chanson bien connue de Percy Sledge. Après un court instant d'applaudissement moelleux, Charlotte descendit de la scène, passant par sa loge pour récupérer ses affaires et décida de se soulager aux toilettes. Ouvrant la porte, elle sentit un choc, renversant quelqu'un.

- Oh, excusez-moi ! s'écria-t-elle.- Ce n'est rien, ce n'est rien ...

La jeune brunette reconnut tout de suite le petit roux mal boutonne. Elle remarqua ses nombreux rides et ses yeux bleus, presque transparents et les trouva presque jolis mais il avait un peu de bière qui coulait le long de sa lèvres et des poils qui sortaient du nez. C'était le parfait looser a ses yeux.

Charlotte passa son chemin et alla salut son meilleur ami Tristan, un jeune homme tout fin aux penchants timides et une copine de longue date, Sofia, une brune aux corps joliment formé et au sourire éclatant. 

- C'était super ! dit Tristan.- Merci, mais je ne suis pas très satisfaite ... répondit Charlotte.- Tu viens avec nous à la soirée ce soir ? Nous t'emmenons en voiture, demanda Sofia.- Non, merci ... Je vais rentrer ... Je suis fatiguée.- Comme tu voudras.

Les deux amis la saluèrent et quittèrent l'endroit. Puis Charlotte se pointa devant le patron du jazzbar en pleine discussion avec le barman.

- Tu me passes ma paye, s'il te plaît ?- Tu es arrivée en retard. Tu n'as même pas joue une heure. Je ne te trouve pas très sérieuse ... En plus, il n'y a pas eu beaucoup de clients ce soir.- Qu'es-tu en train de dire, la ?- Que, peut-être, tu ne la mérites pas tant que ça, ta paye. Je te donne les trois quarts pour aujourd'hui.- Vous rigolez ? J'ai besoin de cet argent, moi !- Je pense qu'elle le mérite amplement. Ce soir, elle a particulièrement bien chante.

Le vieux roux s'était introduit a droite de Charlotte, prenant parti de sa défense a la grande surprise de celle-ci. Le patron le dévisagea sombrement.

- Je crains que ce ne soit votre business, cher client.- je vous prends deux verres. Cela fera de quoi compléter le salaire de mademoiselle.

Le patron reste un court instant silencieux.

- Entendu... Mais tache de revenir a l'heure la semaine prochaine, Charlotte. Allez, deux mojitos, c'est parti!

Une fois tranquilles, Charlotte remercia l'inconnu de son intervention.

- De rien. En échange, tu accepteras bien ce verre. Après tout, j'en ai commande deux.

- Euh ... D'accord.

Charlotte était hésitante. La chanteuse ne comprenait pas trop dans quelle situation elle se trouvait. Toutefois, elle n'aurait pas trouve correct de refuser un verre de son nouveau sauveur.
Après un tchin', le demi-chauve roux engagea la conversation.

- Alors, tu t'appelles Charlotte ?
- Eh ... Oui.
- Tu chantes depuis longtemps ?
- Je crois depuis mes quatorze ans ... C'est a cet âge-la que j'ai commence a prendre des cours. Avant ... Je chantais dans la douche, disons.

Tous deux lâchèrent un léger rire gêne. L'appréhension laissa place a la curiosité. Charlotte s'accorda une grande gorgée et reprit. 

- Ce n'est pas la première fois que je vous voie.
- En effet, je viens souvent. J'apprécie beaucoup vos chansons, enfin, ta musique. Dans le temps, je connaissais une fille qui chantait aussi ... Enfin, vous, enfin, toi, tu chantes vraiment bien. Ça me détend. C'est simple mais c'est beau. C'est vraiment beau.
- Merci...

Ils avaient l'air plus accommodés. C'était la première fois qu'on lui associait un compliment de manière si sincère.

- Que faites-vous dans la vie ?
- Je suis ... Disons, marin. Je transporte des cargaisons de Grande Bretagne.

Pendant qu'il parlait, Charlotte l'observa plus aigument. Ses yeux bleus clairs étaient toujours aussi troublants et sa barbe plus sympathique encore. Dans son ensemble il lui semblait plus propre que sa première impression. Il avait aussi des bras muscles, tailles par l'endurance de son travail.

- Je t'offre un second verre.
- Oh non ... ! Je ne tiens pas l'alcool, hahahaha.
- Ne soyons pas timides, tu ne m'as pas encore raconte ce que tu étudiais ! Garçon, deux autres de même, merci.
- Arrêtez, je ne serai même pas capable de rentrer a pied sinon ! Hahahahaha.
- Mais je te ramenerai, voyons. Hahahah.

Sa voix grave et rauque la faisait beaucoup rire. La chanteuse souriait abondamment, offrant un magnifique apercu de ses dents blanches, ses levres pulpeuses au parfum sucre et finalement ses yeux amendes. 
Peu de temps après ces deux verres, se laissant emportée par le flot d'humour et de joie alcoolisée, Charlotte se trouvait dans la voiture de l'inconnu. Après tout, elle admettait qu'elle etait bien contente d'etre racompagnee en voiture car son trajet habituel en bus s'en trouvait raccourci. 

- Je ne connais même pas votre nom !
- Appelle-moi " le Capitaine ".
- Hahahaha, quel étrange surnom... pour un marin !

Celui-ci roulait a belle allure dans la nuit volatile du bord de la Manche. Le décor ressemblait a un film des années cinquante. Cet enthousiasme naturel la conditionnait de bonne humeur. La boisson faisait son effet et Charlotte ne désirait plus penser mais seulement profiter sans réfléchir jusqu'où les événements la meneraient. Le Marin enclencha doucement le frein.

- Accordons-nous une pause ici et observe la vue, Charlotte ...

Le cadre représentait un incroyable tableau d'une mer qui tentait inlassablement d'échapper a son corps, affrontant jour et nuit les falaises de sa prison. Charlotte admirait l'eau alors qu'elle sentit une main passer le long de son dos. La fille se tourna et vit le roux approcher ses levres des siennes tout en lui tenant fermement le dos. Il l'embrasse pendant une longue minute, mêlant sa langue a la sienne, échangeant leurs salives encore chaudes jusqu'a ce que la chanteuse réagisse, en s'ecartant violemment :

- Mais ca va pas ?!

Charlotte était littéralement outrée, mais avec l'alcool, elle avait du mal a discerner la situation.

- Chut ... Je sais que tu en as envie, ma petite ...

La Marin la poussa dans la voiture et elle tomba sur la banquette arriere. Son inquiétude se décupla. La brunette devint totalement paniquee et comprit que l'ambiance jusqu'alors joyeuse de cette soiree tournait en véritable cauchemar ... 

- Qu'allez-vous ... ?! Ne me faites pas de mal, je vous en supplie ...

Le marin se mit sur elle et passa ses mains le long de ses jambes mates.

- Du mal ? ... A une si jolie fille ? Non ...

Charlotte sentit des frissons la parcourir. Elle saisissait bien la fin de ses pensees vicieuses. L'envie de pleurer la paralysa.

- Je vous en supplie ...

Le Marin, après avoir passe ses doigts sous sa jupe, attrapa sa culotte blanche et la tira doucement pour laisser apparaître un magnifique sexe aux levres roses parfaites, entourees de petites poils sombres encore puerils en forme de poire. Charlotte, toujours immobile, etait depassee par un melange de honte et d'incomprehension.

- Ooooh, mais que vois-je ? Une goutte qui descend le long de ta chatte ... Tu mouilles déjà, hein, coquine ...

Charlotte n'avait en effet pas remarque, parmi la panique qui la recouvrait, qu'une légère vague d'appréhension inquiétante mais, mieux cachée, surtout agreable la traversait. Restait-elle immobile paralysée par la peur ... ou dans l'attente ?

- Voyons gouter ce superbe minou, dis ...

Le Marin deposa sa langue délicatement le long de la goutte âcre et longea la peau jusqu'à l'entrée du vagin de la chanteuse. Il titilla alors furtivement la peau rose toute frêle. Un gout sucre et de sueur florale envahit sa bouche. Cet effleurement declencha un nappe de chaleur qui traversa la lyceenne de la tete au pieds. Il releva ensuite la tete et la regarda droit dans les yeux. La chanteuse était terrifiee.

- Dis-moi, ma jolie, combien de garcons ont eu la chance d'user une superbe chatte comme celle-la ?

Charlotte ne disait mot. Il s'approcha et lui embrassa langoureusement la cou.

- Hein, dis-moi ?

Toujours sans reponse, il releva la tete et frappa la banquette d'un air autoritaire.

- Reponds !
- Aucun ...

Ses faibles mots etaient sortis d'eux-meme. Charlotte n'etait plus disposée à la realite. Son corps commencait a echapper a sa raison.

- Aucun ?! Hahahaha. Me voilà grand vainqueur d'une magnifique vierge ... Combien suis-je chanceux ce soir!

Il l'embrassa de nouveau, mais cette fois, plus profondément. Charlotte se laissait faire. Le marin attrapa ses jambes plutot grasses et les ecarta violemment. Il dechira la jupe et, dans la volée, retira ses sandales. Le vieux roux remonta son tee-shirt de sorte a voire son ventre imposant. Charlotte, toujours plus honteuse, se trouvait totalement nue en dessous du nombril.

- Quel corps de rêve ! Les garçons ne savent pas quelle genre de bonasse comme toi ils ratent ... Tiens-toi prete, ma belle, ca va te plaire ...

Redescendant sa tete entre ses jambes ecartees en l'air, il entama un long massage buccal du sexe feminin, caressant en même temps tout le reste du corps. Sa langue, d'abord, longeait sa fente, montant et redescendant, humidifiant l'entre-jambe qui ne tarda pas a se purifier de legere transpiration. 

- Tu sais que je l'aime, ta chatte, a toi ... 

Charlotte, les yeux fermes, respirait lentement, tentant de canaliser les secousses sensorielles qui stimulaient des ondes de plaisir jusqu'alors inconnues. Poussant ses jambes en l'air le plus possible pour avoir parfaitement son entre-jambe ouvert devant lui, le Marin entreprit alors de rentrer sa langue a l'interieur, ecartant les parois visqueuses de plaisir. 

- Aaaarh ... !

Ce long rale s'echappa instantanement et la jeunette se surprit a exprimer si explicitement son plaisir. Charlotte ne se sentait plus elle-meme.

- Alors tu aimes, hein ?
- Ah ... Ah ... Ah ...

La pubis de la brune aux cheveux ondules se montrait maintenant bien humide. Le capitaine enfoncait sa langue de plus en plus profond, attrapant la peau rose et la tirant avec sa bouche, stimulant des effets toujours plus enivrants.

- Tu comprends ... Il fallait juste se laisser faire un peu ...

Charlotte se rendit alors compte que ses deux bras étaient demeures immobiles le long de la portiere, et, pendant que le roux lechait allègrement son entre-jambe, elle ne put s'empêcher de descendre ses bras et de lui caresser son crane presque chauve. La tete relevee, il lui attrapa la bouche comme s'il tenait la bouille d'un enfant.

- Ca te plait vraiment, hein, le cunni ? Avoue-le ...

Charlotte restait sans les yeux fermes.

- Avoue-le, Charlotte ...
- Oui ...

La gamine enrobee ne pouvait plus nier une telle evidence et cela encore amplifiait sa honte.

- Oui, embrasse-moi ...

De nouveau, leurs langues s'echangerent langoureusement. Charlotte sentit parmi la salive du roux encore un peu de son liquide vaginal et se rappela que ses amies traitaient habituellement de "salope" un tel comportement. Qu'etait-il en train de lui arriver ?


(A suivre ... !)

Par Mr. Nichts - Publié dans : Série - Charlotte, Chanteuse Vierge, et Le Marin - Communauté : Ecritures Très Coquines
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Dimanche 7 avril 7 07 /04 /Avr 23:08

Humour Rose, Quand Tu Nous Tiens

 

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      C'est très dommage, ça ...

 


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"Pitié, ne partez pas pour cela ! J'ai déjà dépensé 100 euros en viagra ... "

 

 

 

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The Human Centipede... Sexy Version!

 

 

 

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Il fallait y penser !

Par Mr. Nichts - Publié dans : Humour Rose (classé X) - Communauté : Ecritures Très Coquines
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Samedi 6 avril 6 06 /04 /Avr 19:31

Le Cyber-sexe ? Oh my Gode !

 

Avant toute chose, je le reconnais: ce jeu de mot dans le titre est naze.

 

Cyber-sexe, vous avez dit cyber-sexe ? L’avant, le ‘harder & faster’, le e-sexe, la théorie de la décuplation des bisexuels, la consécration mondiale des shemales, le contrôle de parental, les dangers et les avantages… Nous vivons ensemble l’aventure intergalactique du cybersexe qui a envahit le web il y a une décennie. Les sites porno, les chatroulettes et les annonces plan cul sont légions et même si vous ne les cherchez pas, eux vous trouveront.

 

Autrefois, j’imagine que les petits garçons trémoussaient face à une super-héroine en petite culotte dans une bande-dessinée en couleur mauve. Aujourd’hui, je peux vous trouver en trois clics une femme se faire triplement défoncer par voie classique, anale et orale. Avec le web, on a l’avantage de commander à la carte: black, gay, asian, mature, boobsy… En extra, vous améliorez même votre vocabulaire anglais! Il y a du bon dans le bon.

 

Mais sur la toile, il faut que ça aille vite: pas de temps pour des dialogues et encore moins des histoires. Le caméraman amateur choisit deux protagonistes. Ils baisent, peu importe si c’est bien ou mal filmé. On finit sur une éjaculation faciale et bingo, c’est dans la boite!

 

Sauf que sans histoire, ni dialogue, ni personnage, ni même relation entre les personnages, le caractère torride, moteur de l’excitation sexuelle, faiblit drastiquement. La course contre la montre peut s’avérer très apétissante à condition de ne pas devenir systématique. Dans le cyberporno, il ne reste finalement que le visuel et un peu d’audio.

Pour cette raison aussi, l’éjaculation faciale joue un rôle majeur dans le gonzo: l’épanouissement intellectuel par la sortie du sperme doit être explicite, et pas seulement suggérée. Bref, la recette est répétée inlassablement: on en prend d’autres et on recommence. Parfois, on parvient même aux frontières de l’ennui.

 

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Dès lors, comment faire pour exciter les internautes? Facile: il suffit de pousser le visuel plus loin dans le hard! Le gonzo suit la règle « harder & faster. » Ainsi, on nous présente des vidéos de plus en plus trash et moi-même, je les cherche pour découvrir des trucs toujours plus dégoûtants.

 

Je pense qu’on a tous connu ce moment: on s’est bien branlé, on va s’essuyer et, retombant sur la vidéo qu’on matait, on est soudain dégouté de la scène. On ferme l’écran de l’ordi, presque fâché contre nous-même en se sentant un peu loser.

 

Je ne vais pas faire la morale sur les méfaits de la masturbation (qui sont, bien souvent, imbibés d’hypocrisie catholique) mais je vais pointer du doigt un seul fait: lorsque mes gonades regorgent de fertilité, le chasseur en moi demeure toujours éveillé comme un prédateur à l’affût. En gros, je drague bien mieux lorsque je ne me suis pas branlé. Paraît-il que c’est vrai pour tout le monde! Donc pensez-y vous qui cherchez la femmelle idéale : vous vider les couilles fait sûrement de vous un homme mais les garder pleines un peu fait aussi de vous un mâle.

 

Concernant mesdemoiselles, je ne sais que dire si ce n’est que chaque fois vous vous faites plaisir, vous me faites plaisir.

 

Un jour, tard le soir, quand j’étais seul chez moi à zapper la télé, je tombai sur un film érotique interdit au moins de 16 ans sur la chaîne N35. Et là, soudain… Le choc! Une histoire, des dialogues, des personnages aux caractères différents et le sommet: une intrigue. De plus, le film irradiait une torridité exceptionnelle: les formes des femmes étaient souvent suggérées. Plusieurs fois, on croyait obtenir enfin le privilège d’admirer cette délicieuse poitrine, mais alors, l’actrice décidait de nous faire patientier et ainsi bouillir un peu plus. Je vous conseille fortement de regarder le film « Pirates » avec Katsuni et Soya. Sa suite « Pirates II: Stagnetti’s Revenge », qui ne se résume pas du tout une simple parodie de « Pirates of Caribbean », est le film pornographique le plus cher de tous les temps! Ce chef d’oeuvre érotique se place exactement au milieu entre film pornographique et film d’aventure. Les actrices sont sublimes, les décors paradisiaques et l’histoire énivrante.  Pour profiter d’un film aussi bien monté, je serais prêt à payer car ce n’est pas que du porno, c’est aussi du cinéma.

 

Le web a tué le cinéma X de qualité, en remplaçant le restaurant gastronomique par un fast food appelé gonzo. Pauvre cuisine française!

 

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Autre phénomène très intéressant, internet a créé une nouvelle sexualité que certains appellent le e-sexe. Sûrement l’avons-nous tous pratiquer au moins une fois ou deux ou même bien plus dans l’un de ses lieux de rendez-vous: chatroulette, coco, pagay, skype… Dans le e-sexe, on ne fait pas vraiment (voire pas du tout) l’amour. Le premier contact se matérialise dans des ‘dial’ où on essaye de cataloguer rapidement tous ses fantasmes comme quand on fait une liste de course. En quelques minutes, on arrive à deux outcomes possibles: ‘bye’ (lorsque visiblement, le conjoint n’avait pas les même fantasmes sur les chèvres et les noix de coco) ou ‘cam?’ qui amène à l’étape supérieure du e-sexe. 

 

Contrairement à ce que certains croient, sûrement un peu détournés de la réalité, on ne fait toujours pas l’amour mais on présente un show sexy (plus ou moins selon les gens…) à son partenaire: la webcam devient le pénis de notre désir et l’écran le vagin de nos fantasmes (ce qui ne veut rien dire). L’avantage quand on procède ainsi, c’est qu’on se sent souvent très très cons. De plus, on connaît les risques: quelqu’un d’assez connaisseur en informatique peut capturer dans un film ce que vous lui montrez à la webcam et vous faire très efficacement chanter avec. Plusieurs cas ont déjà été déclarés à la police… Donc méfiez-vous la prochaine fois que vous montrez votre visage, votre bite et vos fesses à une fille que vous ne connaissez pas. D’ailleurs, éclairez définitivement un autre point pour tous les hommes hétéros: une fille que vous ne voyez pas mais qui vous écrit de manière très chaudasse… n’est pas une fille (environ 97% des cas). 

 

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Ce qui amène à ma petite théorie: le e-sexe va augmenter le nombre d’hommes bisexuels. Tout d’abord, un homme qui découvre cette nouvelle source de e-plaisir (oui, ça marche avec plein de mots!) va être déçu parce qu’il se rendra compte qu’ils ne parlent pas à des filles, mais à des hommes. Pour s’amuser (et dans sa tête, cela lui semblera clair qu’il n’y a rien de sérieux à tout ça), il va lui aussi se faire passer pour une fille et trouver ça excitant au début, comme un jeu. Puis, petit à petit, le personnage qu’il croit jouer et sa propre personne vont se rapprocher: il pensera que, finalement, peut-être que ce n’est pas si mal de se faire prendre comme une fille. Ajoutez à cela quelques fantasmes sur des transexuelles , elles aussi chouchous du web, qui nourrit son début de désir de pénis chauds et hop! Ca vous fait des chocapics (vous m’avez compris). Je tiens à préciser que cette étude est basée sur de très nombreuses données statistiques et anthropomorphiques récoltées au fil des quinze derniers millénaires.

 

Sans entrer dans des débats identitaires qu’on laissera à Amazon Eve et Christine Boutin, parlons (je ne vous cache pas que c’est surtout moi qui vais parler) brièvement des tranny. Leur histoire est fondamentalement liée à deux projections du XXIème siècle en incroyable expansion: la chirurgie esthétique et le web. Si autrefois, seules quelques apparitions leurs étaient accordées dans des BDs érotiques osées, la médiatisation consécrative et la popularité provocatrice des succubes du 3ième sexe ont clairement éclaté grâce aux sites porno. Le web a même fait découvrir au grand soleil un genre aussi révolutionnaire que la shemale: le hefemale. Le 4ème sexe?

 

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Elle est belle, non ?

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Oh, pardon, il est belle...

 

Bien sûr, les grandes victimes des sites pornographiques sont les personnages âgées… euh, pardon, les enfants! Et par association, ses grands enemis sont les parents. Premièrement, si vous avez moins de vingt ans aujourd’hui, vous avez à coup sûr juré mensonge sur votre honneur plusieurs fois… et un seul clic’! Eh oui, le fameux « j’accepte » à l’entrée des sites… Mais je l’avoue haut et fort: il ne m’a jamais ému! Ils auraient pu écrire que je jurais sur mon honneur de vendre mon corps à un businessman vicieux, j’aurais aussi spontanément cliqué sur « j’accepte »! Cet avertissement devrait incarnerun cerbère qui défend les Enfers? A mes yeux, c’était une invitation des plus excitantes au paradis: non seulement j’allais mater des filles nues, mais j’allais en plus assouvir ma soif de rebellion contre le gouvernement (oui, j’étais un vrai révolutionnaire quand j’étais petit, craint du président et recherché par le GIGN). Ainsi, certains adultes ont crié haut et fort avoir découvert la solution idéale: le contrôle parental.

 

Si vous êtes père ou mère (et même si vous n’avez pas le malheur de l’être), laissez-moi vous raconter une histoire intéressante. Quand j’avais moins de seize ans, la plupart de mes amis avait des contrôles parentaux sur leur PC et tous autant que je les comptais savaient les détourner afin de profiter des vidéos les plus cochonnes, dans le dos de leur parents. Le contrôle parental porte mal son nom: il amène directement à la liberté anti-parentale. L’enfant se met au défi de le détourner pour se prouver qu’il est plus malin que ses parents et ainsi, il fréquentera d’une manière ou d’une autre ces sites.

 

De mon côté, mes parents ne m’ont jamais imposé ce pseudo-bouclier défaillant car ils savaient que j’étais meilleur qu’eux en informatique (comme je sais aujoud’hui que mon petit cousin est meilleur que moi). Ils m’ont parlé de ces sites en me prévenant clairement de ce qu’il s’y trouvait et pourquoi ils représentaient un danger. Evidemment, j’y suis quand même allé (et j’y allais déjà) mais je n’oubliais jamais de ne pas m’y aventurer trop loin car je savais que  mes parents me faisaient confiance et cela me rendait plus responsable. Voici donc mon verdict: privilégiez le dialogue au contrôle (j’ai eu 0 enfant dans ma vie, jusqu’à maintenant, donc je sais de quoi je parle quand je fais la leçon au parents).

 

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Alors, il critique, il critique… Mr Nichts, quel râleur! Non, ne retenez pas que le négatif dans mes propos ! Récapitulons. Je trouve que le web nous a fait perdre la magie de l’imagination ainsi que les films érotiques de qualité. J’ai aussi dit que le e-sexe augmenterait le nombre de bi. Est-ce plus mal ainsi ? Je crois tout le contraire! Le danger reste bien sûr la portée de ces sites au enfants qu’il faut atténuer dans bonne entente. Enfin, le meilleur du cyber-sexe, selon moi, restent les sites de bonne humeur comme xstory ou revebebe.

 

 

MERCI de m’avoir lu jusqu’ici! :D 

Si c’est le cas, clairement, soit vous êtes un héros, soit vous vous demandiez vraiment quel niveau de connerie je réussirai à atteindre (j’espère ne pas vous avoir déçu).

 

* Pour les plus curieux, je vous conseille vraiment de suivre le blog de Angell Summers (http://angell-summers.over-blog.com). Très intéressante, cette actrice française écrit souvent des articles passionants et sincères qui nous font découvrir plus en détail le milieu du porno. Puis, bon… elle est plutôt jolie. ^^

 

* De la même manière, le blog de Katsuni (http://blogs.lesinrocks.com/katsuni/), bien que moins intimiste évidemment, apporte sa petite richesse et sa petite touche d’humour dans ce monde pas toujours rose.

 

* Je vous invite finalement à visiter le super site d'histoires romantiques Xstory (http://www.xstory-fr.com) où vous trouverez de nombreux de nombreux écrits roses et un forum fort sympathique! Vous ne serez pas déçus.

 

 

Votre dévoué serviteur,

 

 

Mr. Nichts

 


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Par Mr. Nichts - Publié dans : Qui est Mr. Nichts ? - Communauté : Ecritures Très Coquines
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Mercredi 3 avril 3 03 /04 /Avr 11:49

Une Veuve Très Active


Complet - Genre: heintaï - Sexualité: straight, voyeur, différence d'âge 

 

 

Voici un comic dont j'apprécie particulièrement le trait fin. J'espère que vous aussi!

 

Votre dévoué serviteur,

 

Mr. Nichts

 

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Fin... sur une bel orgasme! Et vous?

Par Mr. Nichts - Publié dans : BD (Français, complètes)
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Mercredi 3 avril 3 03 /04 /Avr 10:02

Fattima, Un Coup de Folie & Ma Virginité (2)

 

 

Episode 2 - Genre: Comédie sexy - Sexualité: milf, black, dépucelage - Lien Xstory

 

 

« L’homme est né lorsque pour la première fois, devant un cadavre, il a chuchoté: pourquoi? »

 

André Malraux. 

 

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Comme tout le monde, je me suis toujours demandé comment ma première fois se déroulerait. Heureusement, vos potes sont souvent là pour vous donner de bons conseils.

* Le mec pas subtil: « Tu fais ça en soirée avec une meuf bien bourrée. Personne ne t’emmerdera et si tu te foires, c’est pas grave. »

* L’opportuniste: « Ca peut arriver à tout moment donc garde toujours une capote avec toi. »

* Le super-catho: « Avant le mariage? Mais c’est dégueulasse! »

* Le mec trop sympa: « Ah, parce que t’es toujours puceau?! Hé, Manu, viens voir, tu devineras jamais! »

* Le don juan/connard: « Tu lui fais quelques compliments, la taquine et lui parles franchement de tes intentions de mâle. Chaque fois que tu l’embrasses, tu lui fais croire que c’est la dernière fois. Le lendemain, tu ne lui écris pas et tu ne réponds à aucun de sms. Elle sera dingue de toi après, t’inquiète. » (avec deux filles dans chaque bras)

* Le geek: « Faire l’amour… A quoi ca sert? On a déjà les pornos. »

* La pote fille: « Il faut que tu trouves quelqu’un que tu aimes vraiment, que ça vienne du coeur, sinon, ca ne marchera pas. Sois patient. »

* Celui qui croit en moi: « Sois patient, surtout. C’est ça, l’important. Sois patient.»

* Le psychopate: « Moi, j’ai une poudre qui fait dormir un cheval pendant quatre heures. Il n’y a rien de plus pratique. »

* Celui qui a raison: « De toute manière, ce ne sera pas comme tu penses. »

 

Et pour cause! Si depuis quelques temps, j’avais fantasmé sur cette volupteuse femme noire, jamais je n’aurais cru me retrouver dans son appartement accrochant mon habit chaud à son porte-manteau et l’entendre formuler:

 

« Tu veux un verre? »

 

La noire retira sa veste, dévoilant ses jolies rondeurs sous une sobre chemise blanche qui contrastait son beau teint.

 

« Oui, ça me tente bien. »

 

En observant les lieux, un petit salon avec une jolie table basse, je l’aperçus ouvrir un meuble.

 

« J’ai du whisky ou du martini.

- ‘Martini. Shaken, not stirred.’

- Hahahaha, t’as un accent pas mal, dis-moi. »

 

J’adorais quand elle riait.

 

« Ne te moque pas.

- Je ne rigole pas! Un beau costar, un peu de muscle et tu ferais un bon James Bond. »

 

Je lui souris sans trop discerner si elle s’amusait de moi ou était sincère. La femme aux lèvres pulpeuses s’approcha me tenir le menton.

 

« En tout cas, tu serais bien mieux que Daniel Craig. Donc on se fait un martini, t’es sûr? »

 

Je m’apprétais à répondre: ‘Comme tu préfères’ mais je me souvins soundain ce qu’avait dit mon pote don juan: ‘Aie l’air toujours sûr de toi! Impose tes choix. Les filles en raffolent.’

 

« Oui, certain. »

 

Je m’approchai de sa télé et aperçus derrière une pile de CDs. Je vis l’album de Percy Sledge et je mourrus d’envie de le passer. C’était un de mes chanteurs préférés et sa musique s’accordait terriblement bien à mes intentions.

 

« Tu veux mettre un peu de musique? me demanda-t-elle tout en préparant les verres dans la cuisine à côté.

- En voyant tes disques, l’envie me prenait.

- Vas-y. ‘Surprise me’! »

 

La pression montait en moi. C’était le moment de marquer des points! Je parcourus ses autres artistes mais aucun ne me convainct. Je me lançai. Je mis l’objet et appuya sur ‘play’. Les violons. La batterie. La guitare. Son incroyable voix. Le volume pas trop fort. C’était parfait.

Elle ressortit soudainement la tête.

 

« T’écoutes ça, toi?

- Ouais... J’aime bien.

- T’étais loin d’être né quand c’est sorti!

- Toi aussi, je te signale.

- Oui mais… »

 

Ses lèvres affichèrent un sourire gracieux avec des yeux satisfaits.

 

« Très bon choix! »

 

Son visage redisparut. Je n’aimais pas quand elle faisait des remarques sur mon âge. Dans ces moments, j’avais la désagréable impression que sa conscience la rappelait de force à renoncer à moi. Heureusement, sa dernière phrase s’avérait de bonne augure. De plus, vu le temps qu’il lui fallait pour préparer nos deux verres, elle devait drôlement s’appliquer.

 

« Assieds-toi! J’ai presque fini. »

 

Après une petite hésitation, je m’assis sur le canapé en pensant qu’elle se mettrait à ma gauche. La noire parvint dans le salon avec un plateau comportant les deux verres et quelques apéritifs.

 

« Et voilà!

- Waouh, super. »

 

Après avoir posé l’ensemble, elle vint s’assoir sur le fauteuil à ma droite afin d’anéantir tous mes plans. Nous nous regardâmes yeux dans les yeux et clamèrent tchin’!

 

« Quel gage vous imposez si vous oubliez de vous regardez dans les yeux, vous?

- Euh… Pas de sexe pendant 20 ans.

- Ah, ouais quand même!

- Oui, en général, ça t’oblige à t’en souvenir! »

 

Nous rîmes de bon coeur.

 

« C’est quoi la statue sur ton meuble là-bas?

- Une sculpture que mon père a réalisé.

- Où habite-il?

- En Côte d’Ivoire.

- Je n’y suis jamais allé mais j’aimerais beaucoup. Ma cousine y a vécu, il y a longtemps.

- C’est vraiment un beau pays.

- Ca te manque?

- Non, je suis Française. Je n’ai jamais résidé là-bas. Avec ma famille, c’est….compliqué. »

 

Je sentais que ce n’était pas le moment pour approfondir ce sujet. J’approchais en douceur ma main de la sienne afin de sentir le bout de ses doigts.

 

« En tout cas, la statue est vraiment belle.

- C’est Jésus.

- Ah, je ne le voyais pas comme ça!

- Pourquoi? Parce qu’il est noir?

- Non, parce qu’il est nu!

- T’es con! »

 

Elle rit de nouveau beaucoup mais cette fois, me prit la main dans les siennes. Mes doigts la caressèrent. Nos têtes se rapprochèrent. Tout bascula comme dans un mouvement de gravité inarrêtable, comme si le destin n’avait plus son mot à dire, comme s’il n’y avait plus que nous deux. Nos fronts se touchèrent. Je fermai les yeux et sentai sa respiration profonde pendant quelques secondes.

 

Alors, seulement, ma bouche s’avança des quelques centimètres qui nous séparaient et ma langue pénétra entre ses lèvres marrons afin de caresser la sienne dans une danse terriblement érotique. La scène, aussi fantasmique qu’improbable se passait vraiment: j’embrassais Fattima dans son salon sous la voix de Percy Sledge et le regard de Jésus.

Nos bras se mélangèrent et nous tombâmes lentement sur mon dos. Je sentis sa poitrine contre mon torse, ce qui déclencha une réaction immédiate de la part de mon second cerveau. Fattima me sourit et je compris que je n’étais pas le seul à le remarquer. Elle continuait à m’embrasser mais ses baisers s’éparpillaient sur mon front, dans mon cou... Je commençais sérieusement à bouilloner. Mes mains parcouraient son dos et, bien qu’hésitante, l’une passa sous sa chemise, la tirant délicatement. Les siennes s’aventuraient de même sous mon tee-shirt recouvrant mon torse. Parmi tout ce plaisir, une petite crainte d’être précoce s’éveilla en moi alors que mon entre-jambe ne se calmait pour rien au monde (et je le comprenais bien).

 

Soudain, la femme de mes rêves qui devenait aussi celle de mes réalités se releva et se placa a genoux pile au dessus de ma bosse de pantalon de sorte que celle-ci fut appuyé sur mon ventre. Je commençai à me dire que si Jésus existait et était aussi bon qu’il le prétendait, il devait absolument me protéger d’éjaculer maintenant! Ma succube d’ébonie me mettait bien plus à l’épreuve lorsqu’elle retira sa chemise dans un mouvement sauvage, me présentant un soutien-gorge noire qui retenait deux magnifiques seins. J’avais vu de nombreux films pornos, de nombreux tableaux de femmes nues et même une dame par erreur dans les vestiaires d’une piscine, mais jamais, jamais au grand jamais je n’avais vu quelque chose d’aussi beau.

 

« Tu veux les toucher?

- Fattima, tu es trop belle…. »

 

Mes mains se levaient lentement et entamaient de les caresser puis de la malaxer, de bien les tenir puis de pincer auquel elle réagit par un gémissement aigu. Fattima me prit les bras pour m’encourager à continuer. Je dois avouer que le plaisir commençait à prendre le dessus sur ma pensée. Nous étions entraînés dans une valse où l’instinct guidait la cadence. Ses fesses remuaient au bas de mon ventre. J’en profitais pour glisser une main sous sa culotte par le bas de son dos, passant mon doigt en suivant son trait naturel, frôlant son petit trou et parvenant à une zone très humide. Mes yeux s’écarquillèrent.

 

« Tu aimes me toucher là? Dis-moi que tu aimes…

- Oui, j’adore, Fattima, tu me rends dingue… »

 

Mon petit doigt frottait, pouvant sentir ses poils, sa peau, une entrée.

 

« Oh, Ferdinand… Continue… Oui, là... »

 

La femme noire se pencha sur moi et m’embrassa fougueusement en cambrant bien ses fesses pour que je puisse mieux la doigter. Sa salive me recouvrait le visage et ma langue léchait tout ce qui était atteignable. En même temps, son bassin bougeait de sorte qu’elle s’enfonçait de plus en plus dans mon doigt. Des petits frissons parcouraient mon corps.

 

« Fattima, tu me fais tellement de bien…

- Toi aussi, mon Ferdinand, ne t’arrête pas, je t’en supplie… Je veux te sentir en moi… »

 

Si il existe un paradis sur Terre, c’est celui-ci. Je vous le promets.

 

« Toi aussi… Je veux voir ton engin… Je veux le sentir dans ma bouche… »

 

Je souris en me mordant les lèvres. Ces quelques mots durent suffire à grossir ma queue de quelques centimètres encore. Ce moment était si savoureux, je ne voulais le gâcher pour rien au monde, mais par dessus tout, je voulais qu’il soit des plus sincères. Je voulais m’offrir pleinement à elle sans que rien ne puisse nous séparer.

 

« Fattima, je… C’est la première fois que… »

 

La jolie noire me mit immédiatement un doigt sur la bouche.

 

« Chut… Tout va bien… »

 

Alors commença-t-elle à envoyer des petits coups de langue sur ma bouche tout puis descendit le long de mon cou tout en continuant cette pratique délicieuse. Arrivée, au bas de mon ventre, Fattima prit en main ma bite au dessus de mon caleçon.

 

« Ouh…! »

 

Je me tortillai. C’était irrésistible! Je ne pensais même plus à ma crainte d’éjaculer. Cet instant ne pouvait qu’être bonheur. 

 

« Tu as l’air sensible ici, mon chéri… Fattima va prendre très soin de toi…. »

 

Après m’avoir massé de haut en long, elle entreprit de baisser tout doucement le caleçon. Je fermais les yeux. C’était la première fois qu’une femme voyait mon corps d’homme entièrement nu. Cette pensée s’échappa bien vite lorsque je sentis le contact du bout de sa langue sur mon gland. Très lentement, sa bouche recouvra le bout de mon gland finissant par l’englober totalement. Sa tête l’engloutit entièrement avant de remonter et recommencer ainsi. Sa langue tournait autour de sorte que des spasmes m’envahissaient. D’eux-même, mes bras vinrent lui caresser afin de l’encourager.

 

« Tu veux que je te montre autre chose, mon Ferdinand adoré? »

 

J’ouvris les yeux et aperçut la noire prendre ses seins et les frotter contre mon pénis tou dur tandis que ses lèvres reprirent leur massage buccal. Je crus tomber dans les pommes tellement c’était bon.

 

« Alors, tu aimes quand Fattima s’occupe de toi?

- Oh oui, j’adore…! Continue…

- Fattima s’occupe bien de son Ferdi?

- Oui… Tu me rends fou...

- Alors le Ferdinand doit remercier Fattima et faire quelque chose en échange…

- Tout ce que tu veux Fattima! Je t’aime tellement!

- Tu es un super garçon, Ferdinand…. Tu promets?

- Oui, apprends-moi!

- Alors, voilà, ce dont j’ai terriblement envie que tu me fasses…. »

 

 

A SUIVRE…! 

 

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Par Mr. Nichts - Publié dans : Série - Fattima, Un Coup de Folie & Ma Virginité - Communauté : Ecritures Très Coquines
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